1. De l'habit au moine


    Datte: 12/11/2019, Catégories: fhhh, inconnu, telnet, fsoumise, humilié(e), noculotte, vidéox, pénétratio, policier, tarifé, fsoumisah, Auteur: Resonance, Source: Revebebe

    ... ce moment-là, pour l’enregistrement… je n’ai compris qu’en regardant de près la caméra hier. Sinon, j’aurais été complètement inhibée.
    — C’est ce que j’avais craint. Mais en fait, vous êtes franchement douée pour le théâtre quand vous vous y mettez, même les séquences de nu. Vous avez su promettre autant avec votre corps qu’avec vos paroles, et c’est bien plus efficace. Un autre avantage, c’est que Klein en a oublié de poser des questions indiscrètes sur vous, devoir répondre à chaud est toujours délicat.
    — Il faut dire que vous avez avancé beaucoup d’informations avec la confession. À propos, avez-vous fini de l’écrire ? Telle qu’elle était, cela formait une histoire, mais incomplète.
    
    Décidément, Mathilde le connaissait mieux qu’il le soupçonnait jusqu’il y a peu. Il avait effectivement passé une bonne partie des deux dernières matinées à écrire.
    
    — Je n’ai pas tout à fait fini mais j’ai bien avancé, vous verrez.
    
    Marc lança l’impression du texte. Mathilde commença à lire :
    
    Mathilde termina sa lecture. Elle avait tout lu avec attention, sans sauter de paragraphe, et sans que son expression change. Elle retourna la dernière feuille, mais ne trouva qu’une page blanche.
    
    — C’est tout ?
    — J’ai écrit la fin, mais les passages explicites ne sont jamais les plus faciles… Je préférerais qu’on me comprenne à demi-mot, mais peu de lecteurs apprécient. Il faut que j’y travaille encore.
    
    Mathilde soupira :
    
    — Vous me la ferez lire ?
    — Si vous voulez. Remarquez qu’en ...
    ... l’état l’histoire ressemble un peu à votre jeu de rôle. Lui aussi aura un aspect « coïtus interruptus » pour les protagonistes masculins, si vous me pardonnez l’expression.
    
    Mathilde réfléchit un moment, semblant regarder la fin non écrite sur la page blanche, puis dit.
    
    — Action interrompue ou demi-mot, ce n’est pas la même chose… À propos, la nuit dernière, quand je suis rentrée chez moi, il y avait un camion garé sur le parking, mais pas de voiture. Je me suis quand même arrêtée, par curiosité, j’ai observé un moment, mais tout était calme, aucun mouvement.
    
    Marc s’étonna une nouvelle fois d’avoir créé chez Mathilde un fort intérêt pour un lieu qui pour lui n’était qu’un décor accessoire, et éprouva une pointe de vanité.
    
    — C’était sans doute un conducteur misanthrope qui avait atteint sa limite d’heures de conduite. Le coin est tranquille, mais normalement les camionneurs préfèrent les aires où ils se retrouvent entre eux, comme la Clairière.
    
    Mathilde fit une moue. Marc aurait juré qu’elle était déçue. Il se demanda pourquoi. Avait-elle à ce point foi dans ses écrits, au point de regretter que la réalité ne colle pas à la fiction ? Finalement, elle posa une question.
    
    — Quel titre voulez-vous donner à cette histoire ?
    — J’hésite. « Belle de Crépuscule », ce serait une référence évidente, mais beaucoup trop prétentieuse… « Concomitamment » m’aurait bien plu, mais il aurait fallu que je l’étaye en rajoutant une séquence de pluralisme qui justifie le titre, et ...
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