1. Un médium pervers (1)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Nkari, Source: Xstory

    ... prononce plus un mot. Elle a le regard baissé.
    
    — Une chambre, s’il vous plaît, avec un lit double.
    
    — La 208 est disponible ; ça vous fera soixante euros pour une nuit.
    
    — Je prends.
    
    Ce n’est pas donné, mais ça vaut le coup si c’est pour se faire la rouquine. Cinq minutes plus tard nous sommes devant le bon numéro. J’ouvre la porte et la laisse pénétrer la première. Sa démarche est encore hésitante mais elle ne fera plus marche arrière, c’est sûr. J’entre à mon tour tandis qu’elle observe nerveusement son environnement.
    
    — Il est encore avec nous, Éric ?
    
    — Bien sûr, Anna. Il ne veut rater cela pour rien au monde. Il est tellement heureux que tu aies accepté... C’est un grand honneur que tu lui fais.
    
    La rouquine sourit timidement. J’avance vers elle et lui passe une main dans les cheveux. J’approche mes lèvres pour l’embrasser, mais une nouvelle fois elle a un mouvement de recul.
    
    — Éric me dit qu’il faut que tu te laisses complètement aller, que tu te libères de toutes tes entraves. Il veut que je sois ton guide. Cela signifie que tu vas devoir faire tout ce que je te demande sans la moindre réticence.
    
    — Je... d’accord. C’est tellement dingue comme histoire !
    
    — Oui, je sais. Je t’avoue que ça l’est aussi pour moi. C’est la première fois qu’il m’arrive un truc de ce genre. Je dois reconnaître que je suis plutôt heureux que ça tombe sur toi !
    
    Ah, j’aime faire parler les morts dans mon intérêt, comme certains prophètes font parler leur dieu dans le ...
    ... leur !
    
    J’approche de nouveau mes lèvres. Elle ne recule pas ce coup-ci. Je force sa bouche avec ma langue. La sienne me répond. Je lui roule une grosse galoche. Je me colle à elle et, d’une main virile, lui claque les fesses. Elle a un hoquet de surprise mais se laisse faire.
    
    — Je veux que tu te déshabilles.
    
    — Euh... j’enlève tout ?
    
    — Bien sûr !
    
    Question stupide ! Elle commence par son haut qu’elle est prête à retirer sans aucune grâce. Je lui dis d’y aller doucement, d’être sensuelle. Elle fait l’effort. Son effeuillage se poursuit. Ses seins – deux magnifiques bonnets C d’une blancheur extrême – m’apparaissent. Son pantalon est ôté, puis sa culotte d’une grâce inexistante suit derrière. Je peux admirer une toison aussi rousse que sa chevelure.
    
    — Bien, déshabille-moi maintenant.
    
    Elle se rapproche et, les mains tremblantes, commence à défaire les boutons de ma chemise un à un. J’en profite un peu pour lui palper les seins. Hum, ils sont bien fermes. Anna arrive maintenant à mon entrejambe. La ceinture est défaite, puis ma braguette. Elle fait descendre mon pantalon. Il ne manque plus que mon boxer. Elle prend une grande inspiration avant de le retirer lui aussi. Ma bite jaillit droit vers elle. Anna n’ose pas la regarder. Je lui prends la main et la dépose dessus. Elle est paralysée.
    
    — Elle est dure, hein ?
    
    — Oui... murmure-t-elle.
    
    — Caresse-la.
    
    Elle obéit mais se montre plutôt gauche. Mais juste à voir ses doigts fins sur mon gros engin me ...