Mariage (2) - Histoires de Sexe

Mariage (2)

... retour prévu, je reçois l’instruction de me remplir avec l’énorme plug métallique que nous avions commandé et que je n’avais encore jamais porté. Il pèse presque deux kilos et est vraiment énorme. Malgré les séances de fucking machine qui ont bien amolli et exagérément ouvert mon cul, je dois encore forcer pour le mettre. Il fait 7 centimètres de diamètre au plus large et se cale profondément en moi. Il ne bougera pas avant longtemps alors que son poids se fait déjà douloureux. C’est quelque chose d’incroyablement envahissant. J’ai du mal à fermer la chaîne pour le maintenir bien en place, tout seul, c’est compliqué, comme remettre la cagoule en la serrant bien. Les clés sont enfermées à nouveau dans la boîte et je lui envoie une photo du timer, lui indiquant bien deux jours, donc à l’heure de son retour pour me libérer.

Et c’est une fois que je suis replongé dans mon infinie contemplation de ma Femme, Maîtresse, qu’elle me confirme que tout a définitivement basculé. Au travers des petits trous de la cagoule, je perçois qu’elle m’envoie des messages, des photos d’elle. Mais pas seule. Elle est avec un de ses amis que je connais. Dans des situations qui provoquent une immédiate tension dans mon sexe, et un coup de point à l’estomac. Elle m’explique comme elle s’éclate bien pendant ces 10 jours avec lui qui la désire depuis toujours. Que cela fait du bien de voir de vrais mecs et non une salope comme moi. Qu’elle adore avoir une grosse bite dans son cul, comme moi ...

... finalement, mais là, c’est elle qui décide.

Je l’imagine sans mal. Je me souviens du début de notre relation, quand je pouvais encore lui faire l’amour, comme elle aime cela, c’est une bête de sexe, aussi anale que vaginale et pouvant jouir en femme fontaine quand elle était bien stimulée. Oh oui, j’imaginais très bien comment elle pouvait s’éclater avec cet homme. Où donc avais-je donc perdu le fil de notre relation ? Pourquoi n’était-ce pas avec moi qu’elle s’éclatait ainsi ? Je n’étais sans doute pas assez macho pour elle. Et elle avait découvert mon besoin, mon penchant, mon désir lors de séances de prise de substances qui avaient abaissé mes barrières de défense, où je m’étais laissé aller à exprimer mes désirs.

Je me souviendrais toujours de ce moment, où, penchée sur mon oreille, la voix rauque et remplie de désir et de force, mais aussi de persuasion, elle me dit qu’un jour, elle prendrait totalement le contrôle de ma vie et de mon âme, et qu’elle ferait de moi son esclave absolu. Je n’en avais pas cru un mot, mais cela m’avait profondément excité et comblé. De me sentir certes écouté, mais surtout désiré, rampant à sa merci. Qu’elle ait le désir de me transformer non pour moi, mais pour elle.

La souffrance est pourtant indicible, la honte, l’humiliation m’envahissent. Je me trouve d’un coup ridicule dans ma position, honteux de subir tout cela. Cela n’a aucun sens, j’ai d’un coup le sentiment de m’être fourvoyé, que nous nous sommes trompés, qu’il faut revenir en ...