1. A la maison


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fhh, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... mien. Je sais à quoi elle pense. Plus d’une fois alors qu’elle me prenait par le cul, que je gémissais de ses assauts, ne pouvant m’empêcher de lui dire mon plaisir de me faire enfiler ainsi, elle me disait que c’était encore meilleur avec un vrai sexe. Un vrai sexe !
    
    — Tu veux bien mon amour ?
    
    La coquine. Elle est tellement persuadée que je pense la même chose qu’elle ne précise même pas. Sa voix est celle d’une sirène.
    
    Pourquoi ne suis-je pas étonné alors que je la vois lever les yeux vers Serge et abaisser les paupières dans une sorte de "oui" qui sent la connivence ? Lise aurait-elle parlé de cela avec son amant ? Ce fantasme de me voir pris par un homme ferait-il partie des "Moi aussi j’ai des envies" qu’elle m’avait assénés, en refusant de détailler, alors que nous parlions librement après la guinguette ? En tout cas, ce sont ses mains qui m’attirent vers elle, plaçant mon visage contre son cou et me distillant d’une voix douce et langoureuse :
    
    — Tu vas voir mon chéri, c’est magique.
    
    Mais ses mains, maintenant, me caressent les fesses comme elle le fait souvent pour m’inciter à la prendre encore plus fort. Des mains sur mes fesses qui doivent… Mais oui les miroirs des portes coulissantes sont de terribles examinateurs. À eux, rien n’est caché. Ils réfléchissent tout. Lise allongée, moi sur elle, genoux pliés, penché en avant ce qui naturellement me fait relever les fesses. Ce n’est pas la première fois que je me vois ainsi. Ces miroirs sont de ...
    ... fantastiques aphrodisiaques et chaque jour nous nous félicitons d’avoir équipé deux portes avec.
    
    Mais il n’y a pas que nous. Alors que je sens des mains ouvrir ma raie, je vois un homme s’approcher pour y laisser tomber de sa salive.
    
    Elle paraît gigantesque, disproportionnée et pourtant je l’ai vue plusieurs fois pénétrer mon épouse en lui procurant le plus grand bien. Mais vue de ma position elle me paraît bien longue et grosse cette verge, cette tige déjà tendue, bâton de chair que l’homme bouge en la frottant à ma raie, concentrant sa salive vers mon petit trou.
    
    Je sens bien le gland se frotter. C’est plus doux, plus chaud que le gode, même si d’habitude Lise se charge de m’ouvrir le cul avec sa langue dans une feuille de rose perverse et cochonne. Mais ce n’est pas une langue que je vois dirigée par la main de Serge. Il se place sur moi, s’accroupissant plus que s’agenouillant, dirigeant l’extrémité de son dard vers un objectif que je ne peux pas voir.
    
    — Chéri, je le sens, il te cherche.
    
    Et cette voix d’une totale impudeur ! Mais que reste-il de nos retenues ? Balayées en l’espace d’une soirée. Fallait-il que le fruit fût mûr, pour que plus rien ne nous retienne. Surtout toi, ma chérie que je sens impatiente.
    
    Le miroir me montre un homme outrageusement cambré, vulgaire avec une épée dirigée vers son cul. Une épée qui pousse, dilate, force un passage qui ne résiste que par éducation, le temps d’un soupir, le mien, alors que je sens la bite entrer.
    
    — Chéri, mon ...