A la maison
Datte: 11/11/2019,
Catégories:
fhh,
cocus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... L’impression d’être une femme infidèle.
— Je comprends. Alors c’était bien ?
— Oui, très très bien. Serge, comme toi le matin était très dur et il m’a prise longuement. C’était délicat. Tendre, oh excuse-moi mon chéri de te dire cela.
— Mais ne t’excuse pas. Serge est vraiment le partenaire idéal et je suis heureux qu’il allie, expérience, virilité, sensibilité.
— C’est vrai. Je ne te remercierai jamais assez mon amour.
— Mais c’est moi qui te suis redevable.
Un silence. Une pensée. Une idée perverse.
— Tu ne t’es pas encore douchée ?
— Non, je ne voulais pas que tu te réveilles seul dans notre lit.
— Alors tu es…
Je me redresse et ma main découvre ce que j’imaginais. Je me penche vers son visage et lui parlant à l’oreille, comme une chose que l’on n’ose pas dire en face :
— Tu es pleine de lui…
— Oui.
— Lise, je voudrais… Je sais c’est pervers, mais…
— Viens mon amour prends-moi.
Je me place sur elle, passe mes cuisses sous ses fesses et juste avant de la pénétrer je peux remarquer des marques de coulures du foutre de son amant. Je glisse dans un océan de stupre. Mon cerveau est englué dans le vice comme ma queue patauge dans le sperme de Serge. C’est bon cette sensation de passer après l’autre. Je reste un long moment, ancré tout au fond de la matrice avec pour seul mouvement celui de notre respiration.
— Il n’y a rien de plus beau qu’un couple qui fait l’amour. Je partage ce goût avec tous les maris candauliste ou partageurs.
Serge est ...
... revenu. Vu d’en bas il est encore plus impressionnant. Son sexe pend délicatement, imposant par sa taille, remarquable par sa fraîcheur, comparé au reste du corps recouvert de ce duvet que Lise apprécie manifestement beaucoup.
Les rôles sont inversés. C’est l’amant qui regarde et cela aussi est excitant. Je commence mes premiers va-et-vient. Serge s’est assis sur le bord du lit. J’essaie de l’oublier pour me consacrer à mon plaisir.
De longues secondes passent et puis je sens qu’on me caresse les fesses.
— Tu as de très belles fesses, presque comme une femme, douces et sans le moindre duvet.
Une main fait plus que me caresser les fesses elle descend pour flatter mes couilles. Je frémis.
— Et ton petit trou est soyeux.
En remontant un doigt glisse ostensiblement dans ma raie et frotte mon anus. Je frémis encore. J’entends Lise dire :
— J’y veille.
— Vous utilisez souvent votre gode-ceinture ?
La conversation me paraît irréaliste surtout lorsque j’entends à nouveau Lise répondre.
— Assez.
— Paul, tu aimes ?
C’est encore ma femme qui répond :
— Il adore… Et moi aussi. Ça te choque ?
— Pas du tout. Je pense au contraire qu’un homme, pour être un bon amant avec une femme, pour savoir bien lui donner du plaisir, doit connaître le plaisir de la possession.
— Alors toi aussi ?
— Mais oui. Qui n’a pas goûté à la chaleur d’un sexe bien chaud dans ses fesses ne connaît rien au plaisir.
Vraiment surréaliste ! Je sens le regard de Lise qui cherche le ...