1. A la maison


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fhh, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... j’ai été retrouver les tétons de ma femme que je sais si sensibles. Elle est notre jouet, notre muse, notre inspiration.
    
    Sa croupe est une invitation et je me souviens…
    
    — Tu peux l’enculer si tu veux, elle aime ça.
    
    Le grondement de Lise est à la hauteur de ce cadeau. Jamais aucun autre homme n’a connu ce chemin. J’ai été le premier comme elle a été la première à me sodomiser. Mais c’est elle que j’offre à Serge.
    
    Il ne se le fait pas dire deux fois. Il sourit en me regardant et je me trahis en répondant à son sourire. Le bandeau n’est plus de mise et je le fais sauter. Je veux voir. Voir cette longue tige se frotter à la raie, apportant une contribution humide et grasse. La voir se placer. La voir forcer, forcer mais si peu qu’on a l’impression que la corolle bâille de désir. Elle entre. Je vois distinctement le sphincter tout en muscle étreindre le gland, puis la hampe, faisant de cet anneau la plus puissante des caresses.
    
    Lise gronde toujours. Enfin le ventre de Serge est au contact. Nous voici soudés à nouveau. La croupe ondule à nouveau. La coquine en veut plus. La coquine c’est ma femme. Nous la prenons à deux et cela semble si naturel. Voir c’est bien, mais participer c’est pas mal. L’homme monte vite en cadence, en puissance. Ma queue est un pieu où la gorge de la pute vient s’amarrer. Plus personne ne parle.
    
    Ma jouissance monte vite, et sans remords j’inonde la gorge de ma femme, femelle, pute et salope pour mon bonheur. Elle me garde en bouche ...
    ... pendant que son amant, infatigable lui laboure le cul jusqu’à ce que lui aussi lâche les vannes.
    
    Lorsqu’elle se relève c’est un visage défait qu’elle nous montre. Mais ce qui suinte de ses lèvres et le sourire vicieux sont les plus beaux des compliments.
    
    * * *
    
    La chambre est envahie par le soleil. Il fait grand jour. Un coup d’œil au réveil m’affiche 8 h passé. J’ai donc fini par m’endormir bercé par les respirations de Lise et de Serge, manifestement rompus de fatigue. Je les ai regardés, essayant de fixer pour toujours dans ma mémoire cette fantastique soirée. Après la cuisine, nous avons soupé très légèrement. Je m’étais mis au diapason du couple, c’est-à-dire nu. Nu, mais redevenu le mari cocu et content, candauliste n’arrivant pas à me rassasier de ces deux corps que le plaisir sublimait. Le bonheur !
    
    Pourtant à côté de moi je ne vois que ma femme. Elle respire un peu vite, ses yeux fixent le plafond.
    
    — Tu es réveillée mon amour ?
    — Oui, bonjour mon chéri.
    — Bien dormi ?
    — Magnifiquement et toi ?
    — Un rêve ! Serge n’est pas là ?
    — Il est parti se doucher.
    — Ah. Je pensais qu’il aurait aimé… Le matin au réveil… c’est toujours très agréable.
    — Nous l’avons fait.
    — Oh ! Vous ne m’avez pas réveillé.
    — Non, tu dormais si bien. Tu m’en veux ?
    — Non, non.
    
    Elle tourne son visage vers moi.
    
    — Tu dormais. Tu étais tourné vers moi. Serge a été très doux. Pendant qu’il me prenait je te regardais. Je me suis sentie vicieuse de faire cela alors que tu dormais. ...
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