1. A la maison


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fhh, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :
    
    Le bus
    
    Ils ont rencontré Serge dans le bus en retour d’une soirée arrosée. Lise ne portait plus de petite culotte et, alors qu’elle somnolait, Paul, son mari – qui ne le savait pas – s’était amusé à voir Serge mater son épouse. Mais Serge est un partenaire pour les couples dont le mari aime voir sa femme avec un autre et a pris cette exposition involontaire pour une proposition. Il a invité le couple "en tout bien tout honneur" mais fait croire à chaque conjoint, pris séparément, que l’autre serait partant pour un essai de candaulisme.C’est dans une guinguette que Lise s’est laissé séduire par Serge sous les yeux de son mari, persuadée qu’elle réalisait le fantasme de Paul.Personne ne regrette.
    
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    Beaucoup connaissent, mais peu l’ont vécu, le bonheur de la montée d’escalier. Vous savez celui décrit par des auteurs beaucoup plus talentueux que moi qui narrent avec des mots sublimes et qui vous plongent dans leurs rêves.
    
    Devant vous, des jambes sans fin, gainées de soie, supportées par des talons hauts qui claquent sur les marches.
    
    Devant vous une femme dont la robe épouse parfaitement le corps et souligne ses hanches, ses fesses, sa taille et tout là-haut, caché à votre regard, une poitrine que vous imaginez forte mais ferme.
    
    Cette femme, elle vous inspire d’autant plus que bientôt vous allez la prendre dans vos bras et que vous allez la faire crier de plaisir.
    
    Moi, mon fantasme est différent. ...
    ... D’ailleurs ce n’est pas un fantasme, plutôt une réalité. Ma femme est devant moi mais l’escalier est loin et d’ailleurs celui qui la suivait c’est un autre. C’est Serge et ceux qui ont lu notre premier récit le connaissent. Étrangement, ce n’est pas moi, mais lui qui est assis dans le canapé confortable de notre salon. Mais je sais pourquoi. Lise, ma femme chérie s’est littéralement emparée de ce que nous avons vécu, un peu malgré nous…
    
    « Oh les menteurs ! » diront ceux qui connaissent bien la vie et ses chemins sinueux.
    
    Bon d’accord, Serge nous avait un peu menés par le bout du nez.
    
    J’ai dit « bout du nez » ! Oubliez, c’est un lapsus. La réalité, c’est « par le bout de nos fantasmes ».
    
    Donc ma femme s’était manifestement prise au jeu et dès que j’ai dit, quelques jours après cette première fois :
    
    — On va bientôt rentrer chez nous. Si on pendait la crémaillère ?
    — Pendre la crémaillère ? Après des travaux ? C’est nouveau ?
    — Il n’y a pas que l’appartement de nouveau ? Tu ne vois rien d’autre ?
    
    Bien entendu qu’elle voyait ! C’était une évidence. J’avais déjà à la maison, entre le moment du bus et celui de la guinguette une chatte en chaleur, après cette première fois, j’avais ramené une chienne toujours chaude. Attention, ne prenez pas le terme "chienne" dans son sens désobligeant. Moi j’appréciais cette femme nouvelle, aimant avant cette rencontre tout ce qui peut donner du plaisir, mais après "Waouhhhhhhhhhhhhhh". Le nombre de "h" est au niveau du changement. ...
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