1. A la maison


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fhh, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... est là et me montre un tabouret où je m’installe, aussitôt aveuglé par le foulard qu’elle noue autour de ma tête.
    
    — Tu seras aux premières loges, dit-elle avec une voix trouble.
    
    Quelques secondes de silence et puis la voix de Serge.
    
    — Quelle femme tu as, Paul. Elle est magnifique dans cette position. Elle s’appuie contre le plan de travail, penchée en avant me présentant son cul, les jambes écartées comme une femelle qui attend son mâle. Elle te regarde pendant que je la caresse. Tu l’entends gémir ? Tu la vois tortiller de la croupe ? C’est ta femme mais c’est une autre puisque tu me la donnes. Elle est libre. Sans tabou. Sans retenue. Écoute…
    
    Oh oui j’écoute ! La voix est une berceuse. Une berceuse en musique. La musique des frottements, des gémissements, des respirations, des soupirs, tous ces bruits que l’on ne remarque pas lorsqu’on regarde, la vision absorbant toute notre attention.
    
    — Lise parle à cet homme ! Ce n’est pas ton mari, c’est un autre, un voyeur aveugle, un voyeur par l’esprit. Tu peux tout lui dire.
    — Oh, c’est bon, n’arrête pas. Je sens tes doigts dans ma fente. Tu vas et viens et je sais que ce n’est que le début. Je vois ton sexe tendu. Je suis impatiente…
    
    Oh. Un bruit humide, comme une…
    
    — Goûte mes doigts. Tu sens mon foutre… Tu sens ta liqueur. Oh, Paul cette femme est le vice personnifié. Tu vois comme elle apprécie nos jus. Déjà tout à l’heure elle a goûté avec un plaisir évident à mon sperme. C’est une goûteuse, une coquine, ...
    ... une chaude et je vais la…
    — Oui ! Oui !
    — Elle est totalement ouverte. Je rentre dans une grotte soyeuse, grasse. Allez salope bouge ton cul sur ma bite. Je vais te labourer car c’est ce que tu veux.
    — Oui, oui baise-moi… Oui…
    
    De longues secondes où j’entends clairement les chairs se heurter, les respirations s’accélérer.
    
    — Putain que tu es gros. Tu me remplis. Continue. Bourre-moi. Mon mari m’a offerte et je suis ta chose.
    — Tu l’entends ta femme ? Elle demande de la bite. Ça te fait bander ? Tu apprécies ?
    — Oui ! je m’entends dire.
    — Montre-moi chéri, montre-moi comment tu bandes pour moi.
    — Non, ne bouge pas, ordonne Serge.
    
    Des frottements. Des mains qui se posent sur mes jambes. Des mains qui s’attaquent à ma braguette, extirpant avec délicatesse ma queue raide qui bondit enfin libérée.
    
    — Allez suce ton mari.
    
    La bouche se moule sur mon mandrin. Déjà la langue me lèche, les lèvres me caressent. En baissant instinctivement la tête le bandeau se relâche et je vois par dessous. Le champ de vision est étroit mais assez pour me montrer Lise qui a quitté l’appui du plan de travail pour venir s’appuyer sur moi, avec Serge toujours enchâssé en elle. Maintenant il n’est plus nécessaire de m’expliquer. Je suis partie prenante du jeu, et même si j’étais encore aveugle les coups de reins de Serge qui propulsent ma femme sur ma queue remplacent de longues paroles. Il la tient fermement aux hanches, faisant claquer par moments les bretelles élastiques du corset. Moi ...
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