1. Les moches sont les pires des salopes


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fh, gros(ses), complexe, laid(e)s, sauna, forêt, hotel, amour, ffontaine, entreseins, Oral fsodo, coprolalie, fouetfesse, Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe

    ... excitation sexuelle intense chez certaines femmes. Tu ne voudrais quand même pas que je m’en plaigne ?
    
    Ce repos fut bref et elle me dit :
    
    — Je ne dispose que de ce week-end pour saisir les mystères et les nuances de la sensualité, et de telles occasions me seront à l’avenir comptées.
    — J’espère bien que nous n’en resterons pas là.
    — Qui sait ? lâcha-t-elle, tristement sérieuse, mais ce ne sera pas de mon fait.
    
    Elle se redressa sur notre couche et vint me chevaucher en me décochant un grand sourire quémandeur.
    
    — Je sens un reptile qui s’agite sous mes fesses, et j’ai grande envie de lui accorder asile.
    
    Saisissant ledit reptile, elle l’aida à se faufiler dans la grotte énamourée qui suintait de mille eaux. Ses paralysies antérieures s’envolèrent et ce fut elle qui initia la danse puis imprima la cadence. J’avais agrippé ses hanches plantureuses pour accompagner et soutenir son va-et-vient tandis qu’elle montait et descendait sur ma hampe avec des gloussements de satisfaction. Ses cuisses s’écrasaient voluptueusement sur les miennes et son ventre rondelet percutait mon pubis. Ses fantasques tétons s’étaient démesurément allongés et m’hypnotisaient, ses seins qui se ballottaient m’envoûtaient et je suivais leurs oscillations amorties avec délectation. Après quelques moments de cette formidable cavalcade, je la vis se raidir et, lentement, la fis basculer sur le côté puis sur le dos sans que nous ne nous désunissions. Le rythme qu’elle essaya de maintenir en ...
    ... fut brisé bien qu’elle prolongea ses coups de reins. J’accentuai alors en puissance comme en ampleur la fougue de mes pénétrations. Elle marqua un bref étonnement, suivi de son assentiment. Je n’avais plus peur de l’effaroucher ou de la meurtrir ; aussi, sans faire fi de son plaisir, je pus m’adonner au mien, ce qui d’évidence ne fut pas préjudiciable au sien. Je fus long à atteindre l’extase, et elle jouit plusieurs fois, reprenant à chacune fois son refrain « Oh oui, encore… »
    
    Frénétique, elle secouait sa tête de droite et de gauche, agrippait spasmodiquement les draps, battait furieusement le lit de ses pieds. Je couvris son visage de baisers puis, me reculant pour l’enserrer de mes mains, j’y lus la progression de ses émois et bientôt m’absorbai totalement dans cette vision. J’y découvris la fascinante mobilité de ses traits, scandant la mesure par ses contractions voluptueuses, les battements de ses cils qui occultaient tantôt ses prunelles, tantôt les exposaient, éperdues de bonheur, fixées sur des horizons resplendissants, tantôt ne dévoilaient que leur blanc. Sa bouche tordue entre sourire et rictus balbutiait des onomatopées et des ahanements, clamait de muettes exhortations. Ses dents pinçaient ses lèvres pour étouffer les râles qui s’en échappaient. Elle était de feu, noyant sa couperose dans l’ardeur d’un brasier éclatant. Brutalement, ses soubresauts s’amplifièrent et son corps se cabra. Elle se pâma, emportée par un orgasme dévastateur en hurlant sa félicité ...
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