1. Les moches sont les pires des salopes


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fh, gros(ses), complexe, laid(e)s, sauna, forêt, hotel, amour, ffontaine, entreseins, Oral fsodo, coprolalie, fouetfesse, Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe

    ... des voyages extraordinaires, aiguillonnant les désirs pour les porter à leur apogée. C’est ce qui me fait haïr strings et bikinis qui, à force de tout montrer, ne dévoilent rien que de la viande, ne laissent place ni à l’aventure de la découverte, ni au suspense qui l’entoure. Les sépales geôlières du rigide écrin se disjoignirent et ses chairs tuméfiées se libérèrent en une somptueuse efflorescence.
    
    Jamais je n’avais assisté à telle éclosion d’un bouton qui explose pour épanouir son calice à l’exubérance magnifique non pas en une fleur chétive et maigrichonne, mais semblable aux plénitudes d’un nénuphar ou d’un lotus. La morsure des agrafes avait dessiné une trace adorable le long de sa fragile échine que je massais voluptueusement pour effacer cet affront. Ce fut avec enthousiasme que je palpais ces chairs onctueuses et souples, que je pétrissais ces plasticités rebondies. Elle se redressa, me bascula encore pour renouveler ces libations en son abreuvoir favori. À quatre pattes, sa croupe tendue vers mon visage, elle recueillit une seconde fois l’élixir, exhibant devant mes yeux l’opulence pleine et ronde de sa mappemonde, la splendeur potelée, l’éloquence lisse de son ventre.
    
    Tous ceux qui méprisent les grosses ne peuvent être que dans l’ignorance de ces tableaux luxurieux et capiteux qu’elles seules savent offrir. Dans cette position, je l’aidai à m’enjamber puis, couché sous elle, la ceinturai fermement et portai mes lèvres à son bijou d’amour. À mêmes causes, ...
    ... mêmes effets ; et sans que je ne m’affaire davantage, sans que je puisse profiter de ces merveilleux parages, sans qu’elle n’eût le temps de m’infliger réplique, alors que je pensais ses ressources de cythomiel(1) taries, elle m’en dispensa une nouvelle et abondante bordée. Elle me noya sous les fruits d’une épargne pendant des années d’abstinence thésaurisée tout en émettant une longue et retentissante complainte. La rapidité, l’ampleur et la volupté de cette éruption la déconcertèrent tant qu’elle se dégagea pour rouler tête-bêche à mon côté. Elle en était pantoise et écarlate, asphyxiée par ses désarrois et me regarda, incrédule, d’un air dément. Elle installa ma tête sur le coussin moelleux et renflé de sa bedaine, et tandis qu’elle s’activait en fugaces agaceries de ses doigts et de ses ongles dans mes poils pubiens et sur mon sexe, elle me chuchota :
    
    — Je suis bien égoïste et prends mon plaisir sans plus me préoccuper du tien ; mais tout cela est si neuf, et les ravissements en lesquels tu m’égares sont si violents qu’ils m’étaient inimaginables avant, et qu’ils me font déraisonner. Je te promets de m’amender très vite.
    — Ne t’inquiète pas de cela : j’ai quand même une petite avance qu’il te faudra rattraper. Au vu de tes talentueuses compétences, je suis certain que tu n’y tarderas guère.
    — Ces effusions dont je t’asperge sont-elles bien normales et ne te contrarient-elles pas ?
    — Normales sans doute, un peu exubérantes aussi, mais elles sont la marque d’une ...
«12...678...35»