1. Histoires de la Bienheureuse Agnès


    Datte: 11/01/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... lentement une bouffée de chaleur courir sous sa jupe, le long de ses cuisses, la caresser au niveau de son slip et irradier son entrejambes. Une sensation de chaleur lui envahit alors le pubis, la vulve, et lui gagna le bas-ventre, comme une main douce et chaude qui s'insinuerait dans ses endroits les plus secrets... Elle écarta davantage encore ses jolies cuisses qui formaient maintenant un angle presque droit. La sensation de chaleur s'accentua. C'était bien une réalité cette chaleur qui lui atteignait la partie intime et si sensible. Un très léger souffle d'air tiède pénétra son entrejambes par les bords de son slip, un peu libérés par l'écartement des cuisses. C'était quelque chose de doux, de subtile, d'agréable et de furtif tout à la fois. Cette nouvelle sensation provoquée par ce souffle fureteur, lui fit chavirer les sens :
    
    - "Ah bon Dieu, oui!" dit-elle tout haut, se sachant seule, " C'est ça en fait, tu as très envie! Et si tu continues comme ça, tu vas avoir carrément une très forte envie!". Mille fois elle avait vécu cette situation au début anodin et qui évolue vite : dès qu'une chose, même d'apparence banale, la "déconnecte" du contexte de la réalité sociale et pratique, son esprit dévie et vagabonde, alimentant cette cérébralité forte qui ressource sa sensualité. Sensualité qui, elle-même en se développant, augmente "la dérive". Ainsi ce soir il avait suffit d'un rayon de soleil indiscret et coquin dardé dans l'ouverture de son entrejambes, pour allumer un ...
    ... brasier... Elle se connaissait bien et pouvait facilement anticiper de la suite... Sa jolie collègue blonde, pour faire allusion à ces situations, disait toujours :
    
    - '' Quand j'en suis là, moi, je vais me faire un doigt!". Expression pour le moins triviale et peu élégante, mais qui dit bien ce qu'elle veut dire. D'ailleurs une fois, Agnès l'avait vue "se faire un doigt" justement dans les toilettes de l'hôpital parisien où elles travaillaient ensemble. (Voir le récit : "Jeunes infirmières libérées").
    
    Il faut dire qu'Agnès était venue dans les toilettes pour s'y faire la même chose. Elles avaient fait les soins à un jeune homme de 27 ou 28 ans, très beau et très bien fait et qui avait bandé comme un taureau pendant tout le temps des soins. Agnès, pourtant très professionnelle et que rien n'émeut d'habitude, en avait été très troublée. Il faut dire qu'il avait une bite énorme, d'un format hors du commun, et qu'elles étaient obligées de la manipuler pour soigner les deux plaies ouvertes à l'intérieur des cuisses du patient, suite à une chute de moto. Et quand on saura combien Agnès flippe pour les braquemarts de ces beaux mecs, on comprend son émotion. Elle avait même eu peur parfois, qu'ils lui déchargent dans les mains.
    
    Et là, celui-là, le pauvre type n'en pouvait plus d'être ainsi tripoté et manipulé par ces deux belles infirmières.... Si chacune d'elle avait été seule avec lui, elle l'aurait soulagé en un tour de main, plutôt que de le laisser fantasmer tout seul, ...
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