1. La maman dévergondée, 9° partie


    Datte: 07/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Mature, BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... laissant Barbie-Jésus crucifiée, maculée de mon sperme autant que d’encre rouge, qui veillait sur nous, pauvres pêcheurs. Notre nouvelle religion me plaisait bien.
    
    Les jours suivants ont passé dans un ouragan de folies sexuelles. Cependant, les promesses sont faites pour être bafouées. Noël approchait, et je ne voulais pas laisser plus longtemps ma véritable mère seule et sans nouvelles de moi. Myriam a été triste quand je lui ai annoncé cela, mais sans discuter, elle m’a rendu mes vêtements masculins que je ne portais plus depuis que je vivais chez elle. Elle m’a emmené en voiture à la gare, où elle m’a donné de l’argent pour que je puisse prendre un train et rentrer chez moi.
    
    – Merci pour tout, Stéphane. Merci en particulier pour avoir accepté de tenir ce rôle. Ta présence m’a fait du bien dans
    
    mon travail de deuil : tu m’as aidé à aller de l’avant. Tu devrais céder aux désirs de ta maman, m’a-t-elle dit juste avant que nous nous séparions. Essaie, au moins, de la rendre heureuse au travers de son corps et du tien. Toi et moi, nous nous moquons ...
    ... bien du jugement des autres gens.
    
    Dans le hall de la gare, j’ai rencontré une prostituée qui se faisait appeler Calpurnia. Elle aussi ressemblait à Maman, en plus jeune. Elle officiait librement, sans maquereau, dans sa camionnette garée à proximité. Je lui ai donné le billet de banque que j’avais en mains et nous avons baisé dans son véhicule. C’était plus fort que moi. En montant à bord, j’ai vu que Myriam n’était pas repartie et me voyait suivre cette femme au lieu de prendre le train.
    
    Après avoir fait ce pourquoi je la payais, Calpurnia et moi sommes parlés, et elle était sensible à mon histoire. Nous avons sympathisé. C’est elle qui m’a ramené jusqu’en bas de l’immeuble où habitait ma mère. En chemin, nous nous sommes racontés nos vies. Elle m’a souhaité bonne chance. Et moi, le fils prodigue parti vagabonder trois mois dans les robes des femmes, j’ai poussé la porte de l’appartement. Une sacrée surprise m’attendait.
    
    Amis lecteurs, voulez-vous encore de mes fantasmes extravagants ? Vraiment ? Si oui, dites-le-moi en commentaire, et accrochez-vous. 
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