1. La maman dévergondée, 9° partie


    Datte: 07/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Mature, BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... à Rome. Puis, sans y opposer de résistance, et même tendant ses poignets et ses pieds avec complaisance, elle a été crucifiée.
    
    Pour cela, j’ai décroché le crucifix du mur de la chambre, et j’ai retiré le Christ de plâtre afin faire de celui-ci un personnage de cette Passion spéciale, après lui avoir arraché son pagne et construit, pour lui aussi, un imposant phallus de pâte à modeler rouge, avec de lourds testicules. Le résultat était plutôt étrange, mais sympathique. Des trois, il était le mieux monté, et les autres étaient jaloux. Il avait fière allure, ainsi bandé et couronné d’épines. Comme les autres, il a enfoncé son membre dans la fente de la sainte condamnée à la peau striée par le fouet, aux marques visibles que j’ai su dessiner au feutre rouge d’une manière réaliste. Pauvre Barbie-Jésus, livrée aux perversions masculines les plus inhumaines ! Mais, de même que ma mère lorsqu’elle était attachée sur sa table de torture, elle aurait pu y échapper d’un simple mot, et tout cela n’était qu’un jeu insane qui ne lui faisait même pas perdre son légendaire sourire et son maquillage impeccable.
    
    Avant d’enfoncer les clous, double pénétration virile. Alors que la lourde croix pèse sur son épaule meurtrie par le fouet, Ken-centurion la sodomise, Ken-légionnaire lui impose une fellation profonde et Jésus-le-décloué la transperce vaginalement à grands coups de reins, avant de la gratifier d’une éjaculation interne. Lorsqu’elle ressuscitera, elle portera dans ses ...
    ... entrailles le nouveau fils de Dieu, le fruit des couilles du Messie. D’autres Barbies, élégamment vêtues sur le bord du chemin de croix, assistaient à la scène en huant leur sœur de plastique, tout en se pelotant entre elles (car les poupées d’une jeune lesbienne le sont aussi, souvent).
    
    Barbie-Jésus avait les pieds cloués sur les côtés de la croix, afin qu’elle ait les cuisses largement écartées et que la vulve que je lui avais dessinée au feutre rouge sur son entrejambe lisse soit bien visible, à la hauteur de la bouche de toutes celles et tous ceux qui s’approchaient pour la sucer et la faire jouir en dépit de la douleur, ou bien pour y mordre à pleines dents afin d’amplifier le supplice.
    
    Barbie, c’était Maman : Muriel et Myriam en même temps. Elle était crucifiée avec toutes les mamans dont un enfant est parti trop tôt, pour parcourir le monde ou bien dans l’autre monde. Barbie était la femme de mon rêve avilie par des soudards aux bites dressées de désirs orduriers, par la perversité de tous les hommes aux rangs desquels je m’incluais, et je m’inclus toujours. Mais, sur sa croix, elle gardait la tête haute, altière dans sa féminité, les deux bras ouverts pour étreindre ses bourreaux et forniquer avec eux.
    
    – Maman, tu peux me passer un marteau et de tout petits clous, lui ai-je demandé ?
    
    – Bien-sûr, ma chérie. Elle est excitante, ton histoire. J’ai hâte de connaitre la suite. Lorsque tu fais la voix aigüe de ta
    
    Barbie-Jésus, tu imites très bien celle de Stéphanie. ...