1. La maman dévergondée, 9° partie


    Datte: 07/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Mature, BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Le lendemain, Myriam m’a laissé dormir jusqu’à midi, puis, après un bon petit-déjeuner, m’a donné un peu d’argent et demandé de faire quelques courses pour elle, un service que je lui ai rendu de bon cœur sans oublier de l’appeler Maman, comme elle le désirait. Pour elle, j’étais Stéphanie avec laquelle elle avait des relations que l’on ne considère pas comme correctes entre une mère et sa fille. Son mari les laissait s’étreindre dans le salon, impudiques sous son regard dans leurs gestes lesbiens.
    
    Catholique, cette famille fréquentait l’église avec assiduité. Certes, Myriam et Stéphanie étaient dans le péché parmi les plus mortels qui soient, mais le curé absolvait généreusement ces débordements d’amour, avec d’autant plus de complaisance que la maman et sa fille lui offraient l’une et l’autre de leurs charmes avec générosité, notamment dans le secret de l’alcôve, lorsqu’elles allaient à confesse.
    
    – Par une nuit d’horreur, Dieu m’a punie pour avoir osé ce que les filles de Lot ont fait avec leur père dans le livre de la Génèse, m’a-t-elle confié. Me voilà damnée sur la Terre, et sans doute aussi pour l’éternité.
    
    Pendant qu’elle a lavé mes vêtements, je n’en avais pas d’autres à mettre sur moi. Elle m’a donné ceux de Stéphanie, qui m’allaient plutôt bien. Bien-sûr, j’étais un peu serré dans la petite culotte noire, mais pour le reste, c’était plutôt confortable : j’ai revêtu un soutien-gorge rempli de coton hydrophile, une courte robe à fleurs, et des bas de nylon ...
    ... noirs qui ont nécessité que je me rase les jambes. Comme je n’avais pas l’habitude, Myriam m’a aidé à enfiler tout cela. Elle en profitait pour me tripoter ; je la laissais faire.
    
    C’est dans cette tenue que je suis allé (allée ?) faire les courses au supermarché. Les gens se retournaient sur mon passage à cause de mon aspect peu conventionnel, et certains se sont moqués de moi en se chuchotant à l’oreille, mais en dépit de cela, tout s’est bien passé. J’étais quand même soulagé de revenir à l’abri avec mon sac de provisions.
    
    Le soir venu, à la demande de Myriam qui restait présente et me regardait, j’ai retiré tous mes vêtements à l’exception du soutien-gorge et des bas noirs, et je me suis assis sur la moquette de la chambre de Stéphanie. J’ai ouvert les boites de jouets, choisi une poupée Barbie et deux Ken, et je me suis amusé comme une petite fille jouait au même endroit quelques années auparavant. Alors, j’ai décidé de dérouler le scénario de mon rêve de la nuit précédente.
    
    Barbie-Jésus était flagellée par Ken-légionnaire, tandis que Ken-centurion regardait sadiquement la scène en se branlant. Certes, les Ken n’ont pas de pénis, mais je leur en ai fabriqué un, bien gros et bien droit, avec de la pâte à modeler.
    
    Les poignets liés avec un lacet de chaussure, Barbie-Jésus était complètement nue : comme dans l’Évangile, les soldats s’étaient partagés les vêtements, en tirant robe aux dés – le centurion avait gagné : il comptait la donner à sa femme qui l’attendait ...
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