1. La maman dévergondée, 9° partie


    Datte: 07/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Mature, BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... Continue : fais comme si je n’étais pas là. Si tu veux, on aura du sexe après.
    
    Effectivement : tout en me regardant jouer avec les poupées, elle se masturbait, la braguette ouverte, avec un petit vibromasseur qui bourdonnait à mes oreilles. De temps en temps, elle me passait tendrement une main dans mes cheveux, sans aller plus loin pour ne pas me déranger dans mon jeu. Je bandais comme un jeune cerf et j’écartais les jambes pour qu’elle voie bien mon sexe, abasourdi par les obscénités que je mettais en scène avec ces personnages de plastiques qui me semblaient réellement vivants.
    
    J’ai cloué Barbie-Jésus sur le crucifix. Les poignets et les pieds transpercés saignaient d’une encre rouge en filets qui parcouraient la peau. Après l’avoir pénétrée en une dernière partouze, Ken-centurion, Ken-légionnaires et Jésus-le-décloué on fait un joli travail. Toutes sortes spectateurs étaient venus l’admirer au sommet du Golgotha : Winnie l’ourson en peluche, Nounours, quelques petits Playmobils sanglés dans leur uniforme de pompiers, et ils étaient tous très excités. Une cartouche d’encre rouge, ouverte avec des ciseaux, a représenté le sang versé par la fille du Dieu silencieux, au vendredi du sacrifice de l’agnelle sacrée. Après sa longue et magnifique agonie, juste avant d’expirer, Barbie-Jésus a pardonné à ses bourreaux dont des salves de sperme ont salué le décès. Alors que, pour moi aussi, je sentais venir irrésistiblement l’orgasme de ma masturbation, Myriam s’est accroupie ...
    ... derrière moi et, comme la veille, m’a chatouillé les bourses, tout en murmurant à mon oreille des paroles obscènes qui me rappelaient que j’étais une fille et qu'elle était devenue ma mère. J’ai éjaculé sur la crucifiée, baptisée dans l’eau de ma virilité.
    
    – Je t’aime, Maman, ai-je murmuré à son oreille.
    
    – Moi aussi, Stéphanie. Tu as giclé beaucoup de cyprine, aujourd’hui : c’est bien. Tu es ma fille chérie. Je suis tellement heureuse que tu sois revenue ! Promets-moi que tu ne me quitteras plus jamais.
    
    Elle disait cela entre deux sanglots de bonheur.
    
    – Non, jamais. Je te le promets, Maman chérie.
    
    – Met-toi à quatre pattes. Voilà, comme ça. C’est bien, ne bouge pas. J’adore ta façon de jouer à la poupée Barbie. Avec moi, tu seras heureuse, et tu ne manqueras jamais de rien. De rien, et surtout pas de femme, a-t-elle répondu tout en me sodomisant, d’abord avec son index lubrifié de salive, puis au gode-ceinture. Hmm, allons, Stéphanie, ma puce adorée, détends-toi, ouvre ton sphincter, laisse-moi entrer jusqu’au fin fond de toi. Souviens-toi que tu es une lesbienne, comme moi.
    
    – Tu m’écartèles tellement que tu me fais saigner. Mais continue quand-même : j’aime ce que tu fais.
    
    – C’est normal : toutes les filles saignent, tu ne le savais pas ? Je te donnerai un tampon, et si tu veux, je t’aiderai à l’introduire. Il y en a une boite de ta marque habituelle dans ton placard : coquine, tu es partie sans la terminer.
    
    Myriam a raccroché le crucifix au mur, en y ...