Fêtes dans le Sud-Ouest
Datte: 06/11/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
caférestau,
pénétratio,
occasion,
Oral
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... Ça me fait rarement rire. Là, je l’écoute. Je visualise ce qu’il me décrit et je me surprends à vouloir en savoir davantage. Il en parle sans excitation apparente, et surtout, à aucun moment, je ne l’entends dire du mal de cette femme ou se moquer d’elle. Il l’a trouvée belle. Les femmes entreprenantes n’en sont pas moins des femmes. Je suis étonnée. Mes amis, tous, se seraient gaussés en la traitant de salope, ou pire. Lui, non.
La douche est libre. Il me demande de passer la première. Je prends sous le bras mes vêtements propres pour le service et me dirige vers la douche. L’eau tiède me fait du bien. Je resterais bien sous la douche plus longtemps mais je ne suis pas la dernière.
Je m’habille rapidement. Mon short est un peu court, mais c’est la fête. Je ne sais pas ce qui me prend. J’entrouvre la porte pour faire signe à Jacques de la main. Il arrive. Il entre. Je suis torse nu devant lui. Je sais qu’il ne dira ou pensera pas de mal de moi s’il me voit dénudée. J’avais envie de lui faire ce plaisir, et surtout de me montrer à moi-même que je suis capable de ça. Faire comme si je n’éprouvais aucune gêne, alors qu’au fond de moi je suis pétrifiée.
Jacques se retourne pour ôter ses vêtements. Il est large d’épaules ; ses cuisses sont longues et musclées. Quand il se retrouve en boxer, je découvre des fesses pleines, bombées. Je l’observe. Et il doit s’en douter. Il fait glisser son boxer et se dirige vers la douche, les mains croisées devant son sexe. Je ne veux ...
... pas l’incommoder. Je passe mon tee-shirt, lui fais un petit signe de la main et sors.
Il me rejoint quelques minutes plus tard dans la salle de restauration, frais comme un gardon, l’air un peu emprunté. Nous rigolons tout le long du repas. Il me touche toujours en accompagnant ses paroles. Il me trouble. Je le revois nu de dos sous la douche. Je repense à mon émotion quand ses yeux se sont posés sur ma poitrine. Je me sens l’âme d’une midinette.
La nuit est folle, débridée, déglinguée. Sa cliente d’hier est là à nouveau. Elle n’hésite plus à tirer sur sa chemise pour lui montrer ses seins. Elle le drague ouvertement. Alors qu’il s’approche au-dessus du comptoir pour l’écouter passer commande, elle l’attrape par le cou pour l’embrasser. Il s’en tire en rigolant, mais je crois qu’il a pris la langue de la salope dans sa bouche. Il me regarde, cherchant chez moi un retour approbateur. Je lève juste un pouce, mais avec une moue dubitative. Elle l’attrape à nouveau. Je vois leurs langues. Quelle salope ! Et lui qui se laisse faire… Si ça se trouve, il ne va même pas terminer son service pour aller la sauter.
Les jeunes en face de moi sont aussi les mêmes qu’hier. Il est 3 heures. Ils me commandent 10 vodkas-orange. « Désolée, je n’ai plus d’orange. » dis-je, contrite. L’un des rigolards me hurle qu’il a des kiwis et me fait signe de ses deux mains vers le bas du comptoir de son côté. Comme une idiote, je m’agrippe au bord pour me soulever et regarder de l’autre côté. Il a ...