1. Voisins, voisines…


    Datte: 03/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Emile, Source: Hds

    ... la main mes vêtements et me jette dehors dans la plus absolue nudité.
    
    La nuit est tombée, le sol trempé luit sous la lune car l'orage a éteint l'éclairage public. Je m'apprête à regagner mon domicile, ainsi dévêtu, le plus rapidement possible, vaguement frissonnant, lorsqu'une porte s'ouvre et qu’une main me tire à l'intérieur d’une maison. Je me retrouve face à face avec mon jeune voisin homosexuel, à demi dénudé, qui me regarde avec un air d'envie. Je suis surpris par son importante pilosité brune en accord avec des cheveux et de grands yeux noirs. Il enlève de mes mains mon léger fardeau qu'il dépose soigneusement sur un dossier de chaise et me prend dans ses bras. À de chastes baisers succède une bouche plus vorace dotée d'une langue alerte et pénétrante. Je me sens à nouveau plein de désir et le manifeste en baissant, d’une caresse, son short à ses pieds. Son sexe, fin et long émerge de sa fourrure. Il est déjà dur et dressé vers le ciel, étonnamment rectiligne. Lorsqu’il se colle à moi, mes tétons érigés deviennent sensibles à l’effleurement, mes reins se creusent et mon entrejambe s’échauffe. Nous nous caressons mutuellement le dos, le phallus et les fesses. Il dévore goulûment mon petit sexe qui se déploie autant qu’il le peut. Au bout de quelques minutes je me retrouve jambes écartelées, le buste collé au plateau de la table. Il commence alors à me pénétrer l'anus avec délicatesse, d'un doigt humide puis de deux. Son vit s'immisce lentement dans mon cul jusqu’à ...
    ... ce que je me sente presque entièrement transpercé, puis s'agite de plus en plus fort. Tout mon corps attend son plaisir qui semble ne jamais devoir arriver. Je suis labouré à l’extrême tandis que mon sexe frotte légèrement le dessus rugueux de plateau de la table, ce qui retarde mon envie de jouir. Sa poitrine touche mes épaules sans s’y appesantir. Ses cuisses transpirantes émettent un bruit flasque au contact des miennes à chaque mouvement de va et vient. Ses bourses claquent sur les miennes et mon excitation augmente. Ses mains emprisonnent mes poignets posés sur la table, les bras largement écartés, et me dissuadent de bouger. Mes fesses objets de ses coups de boutoir, mon anus soumis au frottement violent de son sexe, sont de feu. Lorsqu’il éjacule enfin dans mes intestins en saccades délicieuses, je sens les longs jets puissants de foutre remonter en moi. Je suffoque, me tortille ; il me branle et j’explose. Il reste un moment fiché en moi, totalement dilaté pour l’accueillir, puis se retire tout doucement. Pendant un long moment il couvre mon corps érotisé de multiples baisers appuyés avant que nos chairs se séparent. Je suis ici aussi, dès la fin des ébats, renvoyé nu et sale à la rue, sans même pouvoir saisir mon vêtement. Épuisé je regagne prestement mon domicile, douche soigneusement mon intimité et me jette au lit. Je m'endors d'un sommeil peuplé de fantasmes. Souvent réveillé, je finis ma nuit couché sur le ventre, les fesses découvertes et surélevées par des ...
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