1. Les années d'internat


    Datte: 02/11/2019, Catégories: ff, jeunes, école, douche, volupté, init, journal, ecriv_f, Auteur: Patricia, Source: Revebebe

    ... se sucent… Goût de fraise, de caramel, salive sucrée, rafraîchissante… Nous nous buvons mutuellement. Clémence a défait lentement les boutons de ma chemise de nuit et a glissé sa main sur mes seins… Elle s’accroche à ma chair tendue à mesure que mes doigts montent et descendent le long de sa raie culière à la recherche d’un passage vers les moiteurs de ses cuisses… Avec une ingénuité inconsciente, Clémence creuse les reins pour faciliter mes intrusions.
    
    Les deux élèves de Prépa, tout à leurs caresses, n’ont pas changé de position, si ce n’est que c’est maintenant la langue d’Anne qui s’active entre les cuisses de son amie. Mon majeur se glisse entre les globes fermes des petites fesses de ma voisine de lit. Fesses nerveuses et douces, entrecuisse moite de la chaleur du jour et du plaisir que je sens monter comme une vague irrésistible. Mon doigt s’insinue, il s’arrête quelques secondes sur l’œillet secret de son anus. Je ne m’y attarde pas encore… C’est sale sûrement, cette caresse. Lorsque je frôle le périnée, elle a un petit tressaillement et creuse encore davantage les reins, s’offre à mes doigt avec une impudeur ingénue… Les lèvres savoureuses s’écartent comme une figue fraîche sous la pression des doigts… Je sais ce que je veux, je sais ce que nous voulons… ce bouton rose, nacré, caché sous les replis de son capuchon. Ce bouton - toutes les pensionnaires le savent - qui apaise et endort après la violence du plaisir étouffé dans les plumes de l’oreiller… Il roule ...
    ... lentement sous mes doigts, les lèvres s’ouvrent, humides, elles éclosent comme des pétales, la rosée coule doucement, se mêlant au duvet diaphane…
    
    Clémence accrochée à mes seins en pince les mamelons… Je prends sa main et la guide vers mon ventre. Elle comprend mon désir, remonte le tissu et s’introduit dans la fourche de mes cuisses, gagnant mon clitoris avec une précision étonnante… Nos bouches sont soudées, nos langues comme un nœud d’anguilles roses s’entremêlent, nos salives mélangées coulent en un fin filet à la commissure de nos lèvres…. Clémence a lâché mes seins et s’est emparée de mes fesses, elle les pétrit goulûment en une espèce de délire sensuel, son index s’introduit entre elles. Elle ose la caresse de mon anus…
    
    Je gémis, je me recule à peine, juste assez pour défaire les boutons de nos chemises de nuits, nos seins s’écrasent, nos corps roulent comme un bateau ivre… La tempête se lève, nous la sentons monter inexorablement comme une houle profonde au creux de nos reins… Les doigts se crispent dans la chair, s’enfoncent délicatement dans les muqueuses détrempées… Nous nous regardons, absentes au monde, les yeux fixes, hagards, tout à cette tourmente qui nous submerge. Le rouge monte à nos joues comme une bouffée de chaleur avant la syncope… Cheveux collés aux tempes, au front… Regards qui chavirent… Souffle retenu… Nos cuisses se referment sur nos mains… se crispent…. Il est là. « Oui, oui, oui, oui », psalmodie Clémence avec une intonation rauque, profonde que ...