1. Aurélie 8


    Datte: 01/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... bras se placèrent, de chaque côté de ma poitrine, faisant affaisser le lit et je sentis un gland heurter mon pubis. Après quelques tâtonnements, la bite trouva mon trou et s’enfonça d’un seul coup de rein. Il n’eut aucun mal, tant la situation m’excitait. J’étais trempée de mouille.
    
    Sans un mot, comme depuis son arrivée, l’homme commença à me besogner, à la hussarde, sans douceur. Il avait une queue assez conséquente, car chaque mouvement entrant, faisait cogner son gland contre le col de mon utérus. Je commençai à gémir de plaisir à travers mon bâillon, pendant que l’homme me ramonait. Il n’y avait aucune douceur dans cet accouplement, sans doute ce que ma maîtresse lui avait demandé. Pourtant, j’y prenais plaisir. Chacun de ses coups de reins me clouait sur le lit, son ventre, qui me semblait proéminent claquait contre mon pubis, sa queue frappait mon utérus, déclenchant des ondes de plaisir et de douleur mêlés. Je sentais la jouissance monter dans mes reins et, lorsqu’elle se déclencha, je m’arquai. Les bracelets se tendirent à l’extrême, m’empêchant de désarçonner celui qui me tringlait. Je retombai sur le lit, anéantie. L’homme patienta quelques instants, puis recommença à me baiser.
    
    Repue, anéantie de jouissance, je réfléchissais. Je me rendis soudainement compte qu’il n’avait pas mis de préservatif. Il me baisait à cru. Il allait déverser sa semence dans mon vagin. Je n’eus guère le temps de me poser de question supplémentaire. Je le sentis se tendre, grogner, ...
    ... et soudain, la première giclée de foutre atteignit le fond de mon vagin. A grands coups de reins désordonnés, il se vida en moi. Il ne devait pas avoir joui depuis pas mal de temps car je le sentais me remplir le vagin.
    
    Enfin, il se retira et je sentis sa semence couler hors de moi, le long de la raie de mon cul. Je l’entendis se rhabiller et la porte se fermer. Je ne savais toujours pas qui m’avait baisée, et je ne pensais pas l’apprendre par ma maîtresse. Elle avait trouvé le moyen de m’humilier, une fois de plus. Pourtant, je ne lui en voulais pas ? J’avais joui très fort.
    
    Elle ne m’adressa pas la parole, et se retira, me laissant la chatte pleine de sperme, avec le lit se mouillant de plus en plus. Je l’entendais aller et venir dans l’appartement, puis je la sentis venir vers moi.
    
     Alors, salope, ça t’as plu, de te faire baiser ?
    
    Je ne répondis pas, même pas un signe de tête. Elle reprit :
    
     Tu te fais baiser par n’importe qui, salope, et tu jouis ! Je crois que tu mérites une punition !
    
    J’entendis le sifflement, juste avant que la cravache s’abatte sur mon ventre. Sous la douleur, je me cambrai et gémis dans le bâillon. Elle attendit que je me détende pour asséner le deuxième coup, bientôt suivi d’autres. Lorsqu’elle cessa, j’aurais bien été en peine de lui dire le nombre de coups reçus. Par contre, j’avais joui deux fois, et je pense qu’elle s’en était rendu compte.
    
    Enfin, elle se décida à me retirer mon bandeau. Je clignai des yeux, tâchant de me ...
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