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La mère de Jean (1)
Datte: 28/10/2019, Catégories: Divers, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... essayait de lui piquer son mari ne saurait jamais faire aussi bien. L’esprit endormi de la femme presque rousse naviguait aux portes de la réalité et du paradis. Son poignet faisait jouer la peau, décalottant le gland à chaque descente pour mieux le recouvrir la seconde suivante. Puis dans son rêve érotique, pornographique même, elle se surprit à vouloir en retrouver la texture sous la langue. Quoi de plus facile que de se courber pour approcher la coupe des lèvres ? Aussitôt pensé, aussi vite réalisé. Les rêves offraient ceci de bon, c’était qu’il n’était nul besoin de s’embarrasser de préambules. Il suffisait d’y penser pour que l’action soit réalisée et sa bouche engloutissait l’instant d’après ce chibre si bien branlé. Et quel délice que cette glace d’un parfum si peu usité ! Elle en avait envie et ma foi, elle savait toujours comment faire. La bouche venait de se refermer sur la tige qui n’en finissait plus de se tendre. Gilbert avait aussi des soubresauts du bassin, espérant la faire entrer plus avant dans cette cave bouillante. Mais elle savait se reculer suffisamment pour que quelques centimètres seulement pénètrent dans la cavité salivante. Et son homme se cramponnait des deux mains à sa caboche. Mais comme son rêve devenait vivant, comme elle aussi maintenant mouillait. Son entrecuisse littéralement dégoulinait de ces pensées salaces. Comment un songe pouvait-il être aussi illusoire et avoir cependant des relents de réalité ? D’une main elle tenait la ...
... hampe, la retenant pour qu’elle n’entrât pas trop au fond de sa gorge, alors que de l’autre elle pressait sur les deux petites boules dans leur sac de velours velu. Et elle se frottait les deux cuisses l’une contre l’autre pour faire s’entrebâiller cette chatte à qui elle donnait un peu de mouvement. Elle aurait aimé que Gilbert prenne lui aussi quelques initiatives, ne serait-ce que pour la caresser et la délivrer de la pression grandissante qui bouillonnait à cet endroit. Mais lui se contentait de suivre le mouvement des lippes qui gobaient de plus en plus profondément ce dard plongeant en cadence. Il tenait la tête qui bougeait avec une régularité de métronome et les mains qui continuaient à lui procurer une sorte de bonheur auquel Josiane ne l’avait pas habitué. Les dernières vapeurs d’alcool s’évanouissaient également alors que montait dans la verge cette liqueur qu’il n’avait aucune conscience de vouloir retenir. Les deux pattes qui lui maintenaient la caboche, Adèle se disait soudain que son rêve était par trop réaliste. Guy lui lâcha une première rasade de sperme qu’elle ne put contenir tout entière. Et cette fois elle s’avisait que ce n’était pas du virtuel, mais bien l’exacte vérité. Elle voulut lâcher la trique débordante de vitalité, mais les dix doigts refermés sur son crâne ne lui permettaient pas de reculer. Une seconde giclée un peu moins abondante lui arrivait déjà dans la glotte. Alors ensuite elle ne put que déglutir pour ne pas s’étrangler et confusément, ...