1. Au camping d'Oléron, Gigi pousse des cris sous la tente


    Datte: 28/10/2019, Catégories: fh, couple, extracon, vacances, Oral 69, pénétratio, totalsexe, occasion, camping, Auteur: Gusgus, Source: Revebebe

    ... la mienne. Je reviens en elle, elle est ouverte, j’entre presque en totalité, et nous voilà partis en missionnaire dans une baise torride dont tous les détails m’échappent à partir de ce moment-là. Je me souviens que j’essaye alors de passer par son plus petit trou et que ça ne marche pas, non pas qu’elle n’en ait pas envie, mais je l’ai mal préparée, mal lubrifiée. Je me souviens de plusieurs orgasmes. Je me souviens qu’elle a pris mon gland dans sa bouche et m’a sucé doucement et voluptueusement. Et après quelques heures à nous vautrer intégralement dans ces délices charnels, ne résistant pas, je l’ai mise sur les genoux pour voir sa corolle s’ouvrir au beau milieu de son derrière fabuleux. Après l’avoir savoureusement léchée, de haut en bas, je suis venu en levrette, en découvrant un joli tatouage de féline sur le haut de sa cuisse droite. Et là je me suis abandonné, j’ai pilonné son minou comme un sauvage, elle a poussé des cris, et je me suis dit "Et merde, au moins, si certains ne baisent pas, on baise pour eux, déjà qu’ils soient contents : s’ils n’ont pas l’image, ils ont ...
    ... le son, et puis on ne fait de mal à personne". Gigi a crié comme une folle. Je me suis demandé comment il était possible de crier comme ça, mais je crois qu’elle prenait son pied. Il me semble avoir passé une heure à profiter de la perfection de son cul. Je m’en suis régalé, elle avait un cul de rêve. Je n’en ai jamais retrouvé de comme ça. Grâce à mes grands bras, j’ai passé mes mains sous sa poitrine, l’ai relevée pour la sentir cambrée, la voir incliner sa tête pour chercher ma bouche, laisser mes doigts fureter sa fente et son clito en feu dans ses rugissements de lionne.
    
    Gigi, je pense à toi, ça fait des années. Tu avais 39 ans, moi 33, et ta peau était celle d’une fille de seize ans, pas l’ombre d’une vergeture, lisse, douce, tu étais sublime. J’aurais tant aimé réussir à te faire jouir car tu as su me faire exploser trente-six fois. Comme un tatoo, tu es un immense souvenir gravé dans ma peau. Et dans mon cœur car j’ai dû te laisser filer. J’aurais pu faire ma vie avec toi. Mais souviens-toi, ce jour-là, vers 23 heures, je suis revenu et on s’est aimé encore.
    
    À suivre 
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