1. Au camping d'Oléron, Gigi pousse des cris sous la tente


    Datte: 28/10/2019, Catégories: fh, couple, extracon, vacances, Oral 69, pénétratio, totalsexe, occasion, camping, Auteur: Gusgus, Source: Revebebe

    Ça fait plusieurs jours maintenant, et je ne rêve pas : elle est seule. Comment une fille aussi jolie peut-elle être seule ? Dans la journée elle bouquine, se fait de petites balades à vélo. Sa tente est en face de la nôtre, de l’autre côté du chemin de ce camping d’Oléron dont j’ai oublié le nom.
    
    Je la regarde assez souvent cette fille, pas trop quand même, je suis avec ma copine. Dans les moments propices, elle accroche furtivement mon regard. Il faudra quatre jours pour que s’esquisse un sourire et un petit bonjour timide. Son sourire m’a fait fondre. Ce que j’adore, c’est au soleil couchant, quand elle passe par le chemin, entre le soleil et moi, ses cheveux brun roux mi-longs et bouclés s’enflamment. Ses bouclettes rouges viennent mourir dans sa nuque et moi je meurs surtout d’avoir remarqué ses seins si mignons sous son tee-shirt. Elle ne porte pas de soutien-gorge, c’est certain, et ses tétons pointent haut, presque vers le ciel, coiffant une poitrine ni grosse ni petite, mais aux courbes que j’adore. Fermes, pointés vers le haut. De voir ça et de savoir qu’elle est seule, je me dis que ce n’est pas possible. Comme Super-Dupont au camping, j’ai une mission : sauver la France ! Pour ses petites fesses, je ne sais pas, elle porte un bas de survêtement bouffant. Elle pourrait porter n’importe quoi, je la trouverais jolie.
    
    La semaine file à toute vitesse, c’est déjà vendredi. Je suis trop timide. Comment faire ? Je profite d’un petit moment pour rédiger un billet, ...
    ... où je lui dis que j’adore voir sa chevelure rousse s’enflammer au couchant, que si elle voulait de moi, qu’elle laisse ce soir une chaise en dehors de sa tente. C’est une grande tente blanche fixe appartenant au camping, où on se tient debout, avec une entrée, une chambre. Je calcule bien mon coup : c’est le soir, ma copine ne voit rien, ma voisine n’y est pas, hop ! Je traverse le chemin à toute vitesse, je fixe le mot à la fermeture éclair de la tente, j’ai le cœur qui bat à 200 à l’heure, je me dis que je suis taré, qu’elle va m’envoyer bouler. Et j’attends. En parlant à ma copine, j’ai l’impression d’avoir une voix toute bizarre. De temps en temps je regarde, mais ma belle inconnue n’est pas rentrée, la nuit tombe. Et puis après, ça y est, elle est rentrée. Mais elle a fermé sa tente. Pas de chaise dehors. Je veille un peu. Rien. Et merde.
    
    Le lendemain au petit matin, on décolle de là pour aller à 150 km au mariage d’un collègue. C’est samedi, le jour des mouvements. Je me dis que je ne reverrai pas la belle, qu’elle sera partie. Dommage. Retour au camping le dimanche soir, mais cette fois on abandonne la tente et on prend un mobile-home à l’autre bout du camping. On s’était enrhumé dans la tente, car les nuits sont fraîches en septembre à Oléron et on n’avait rien pour se couvrir.
    
    Le lundi matin, je retourne à notre ancienne tente pour y récupérer la seule chose qu’on y avait laissée : nos deux vélos. Et là, vers 11 heures, sur qui je tombe ? Ma voisine, sur une ...
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