1. Au camping d'Oléron, Gigi pousse des cris sous la tente


    Datte: 28/10/2019, Catégories: fh, couple, extracon, vacances, Oral 69, pénétratio, totalsexe, occasion, camping, Auteur: Gusgus, Source: Revebebe

    ... soulève comme une plume. Elle passe ses jambes autour de mes hanches et s’agrippe. Mes mains se libèrent et partent caresser son dos, remontent dans sa nuque passent sous ses cheveux. Ça marche à tous les coups, elle frissonne et me donne un baiser qui dure un siècle. Elle se frotte contre la bosse de mon short. C’est une gourmande. Ses seins sont juste à ma hauteur, et je les salue de mille baisers et coups de langue qui les contournent, les asservissent au plaisir. Gigi ! Ouh là là !
    
    Je la repose au sol, me mets à genoux devant elle pour lui ôter son pantalon de survêt. Je libère ses chevilles et récupère deux pieds fins que plus tard je sucerai. Et là, en remontant les yeux vers elle, je n’y crois pas, je tombe sur des jambes de mannequin. Fines, belles, épilées, toutes bronzées, douces, mais douces ! Je les caresse et lui fais comprendre d’un regard tout ce que je ressens, elle passe ses mains sur ma tête. Mes mains filent en haut de ses cuisses, plutôt vers l’arrière, tout doucement, et là, deuxième électrochoc, qui me fait durcir comme rarement, un string me laisse libre de toucher une paire de fesses encore dix fois plus belle que ses seins. Petite cachottière sous tes pantalons bouffants ! Des fesses qui tiennent dans mes grandes mains comme deux grandes pêches bien douces. Pourtant, je n’ai fait l’amour dans ma vie qu’avec des jolies filles, mais cette Gigi survole les débats, sans frimer, sans se prendre pour une princesse, elle surclasse un sacré paquet de ...
    ... petites péteuses. Elle aurait mesuré 1,80 m, ce serait une déesse vivante. Je lui laisse comme seul vêtement la petite ficelle verte qui délimite les deux pêches au verso qu’il me tarde vraiment de mieux connaître. Je me redresse, ôte mon haut, elle se baisse, enlève mon bas, elle descend mon slip et ma queue sort comme un diable de sa boîte. Je pense que pour ne pas bander face à Gigi, il faudrait être entre quatre planches, dix pieds sous les cyprès.
    
    Elle prend ma queue entre ses mains douces, se relève en me caressant tout doucement. Il commence à faire vraiment chaud sous cette tente. Je ne sais pas pourquoi, ce sont peut-être les rayons du soleil qui passent entre les arbres ? Gigi m’embrasse puis je la soulève à nouveau, mais cette fois plus haut, très haut, pour lui faire une petite surprise. Mes mains sous ses fesses, je la soulève jusqu’à avoir sa petite chatte devant les yeux. Sa tête touche presque le toit de la tente. Elle pose ses cuisses sur mes épaules, je mets une main au milieu de son dos, elle bascule son corps en arrière, comme s’abandonnant et sachant par avance ce qui va lui arriver. Ah bon ? Vous aussi ? Euh, je vous raconte quand même ? Son basculement met son ventre presque à plat devant moi.
    
    J’écarte d’une main ce qui lui reste de tissu, et découvre un petit triangle de pelouse bien entretenu, et une foune toute lisse. Je sens que Popol au premier étage commence à s’impatienter, mais pour une fois que je tiens une Gigi entre mes mains, je bois chaque ...
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