1. Au camping d'Oléron, Gigi pousse des cris sous la tente


    Datte: 28/10/2019, Catégories: fh, couple, extracon, vacances, Oral 69, pénétratio, totalsexe, occasion, camping, Auteur: Gusgus, Source: Revebebe

    ... jamais prise par là, mais je la lèche pour lui en donner envie… un jour, j’espère. Ma langue continue à explorer son petit trou, je pousse de plus en plus loin, elle gémit, elle adore, je branle ses seins qui pendent, elle est hyper excitante comme ça. Je finis par craquer et venir poser mon gland à la porte du paradis dont les parois sont chaudes et glissantes. Ce n’est pas moi qui pousse, c’est elle qui m’aspire. Je plonge ma queue jusqu’au fond de son vagin, je serre ses cuisses de mes mains. Levrette de l’apocalypse, mon corps suant, glissant, collé au sien, elle qui râle, moi qui me cogne partout dans ce putain de mobile-home de nains (je mesure 1,93 m), mais on s’en fout. Ces va-et-vient de mon sexe dans son sexe ne mettent pas longtemps à nous faire partir dans le pays de la tête qui tourne. Orgasme. Saccades. Violente envie de dormir. Elle s’écroule de sommeil.
    
    Il est plus de 14 heures, déjà ! Je suis attendu par la belle Gigi. Je prends une douche et je file la voir mais je n’ai pas encore fini de suer. J’attends un peu sous les arbres. J’avance vers sa tente. Elle me voit arriver et me sourit. Me donne un autre baiser. Je fonds. Ma queue redurcit instantanément. Elle me dit :
    
    — Je reviens.
    
    Et elle file aux sanitaires. Je l’observe partir. Sa silhouette m’enchante. Je rentre dans sa tente. Sur la table, des CD, quelques bouquins, les affaires d’une petite nana rangée. Elle revient. Elle ferme le zip de la tente. Je suis sur un nuage. Comme dans un rêve. ...
    ... Elle s’approche. On se regarde, on se sourit, comme deux mômes qui vont s’enfiler une énorme sucette en cachette, on va avoir notre petit moment de folie et de baise. Elle vient tout contre moi, sa tête bascule en arrière, elle m’abandonne sa bouche humide et passant ses bras autour de mon cou. Je la serre, mes mains sur ses hanches. Elle est un peu petite pour moi, un petit mètre soixante, peut-être soixante-cinq. J’essaye de retarder le plus possible le moment où je vais découvrir son trésor de poitrine. Sous son polo, je passe mes mains dans son dos. Sa peau est une soie ! En contact avec sa peau, je prends une pure décharge. Je suis timide, ça doit être ça, j’ai toujours du mal à draguer, mais quand je réussis à mettre un doigt sur une fille, j’ai une arme secrète : des doigts magnétiques ! Je ressens tout ce qu’elle ressent. Je la caresse juste là où elle attend des caresses. Je la fais frissonner. Elle se plaque contre moi, elle embrasse comme une diva. Mes mains sont hautes sous son polo, dans son dos. Ça y est ! Le moment est venu de découvrir ce qui pointait si joliment vers le ciel quand elle passait devant moi. Je soulève lentement son tee-shirt et je tombe nez à nez avec ses nénés, les plus beaux qu’il m’ait jamais été donné de mordiller. Je reste là une fraction de seconde, halluciné par ce spectacle. Qu’ils sont beaux ! On se sourit. Je les lape doucement, les tétons durcissent et se dressent. Quelle beauté ! Je passe mes mains sous ses fesses encore vêtues. Je la ...
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