1. Au camping d'Oléron, Gigi pousse des cris sous la tente


    Datte: 28/10/2019, Catégories: fh, couple, extracon, vacances, Oral 69, pénétratio, totalsexe, occasion, camping, Auteur: Gusgus, Source: Revebebe

    ... chaise, en train de bouquiner, elle était toujours en vacances. Glup ! J’ai la gorge hyper nouée, je me sens comme un con. Elle m’a dit « non », et maintenant je l’ai en face de moi, il faut que j’aille la voir. Je m’approche, elle me sourit. On se dit « bonjour ». C’est la première fois que je suis si près d’elle. Je vois bien son visage maintenant, elle est canon cette petite. Elle me dit avec un petit sourire :
    
    — Tu es poète toi ! C’est joli ce que tu as écrit.
    
    Je reste bredouille, et elle me dit ne pas avoir vu le mot le soir même, mais l’avoir seulement trouvé le samedi matin. Alors je me souviens de lui avoir dit :
    
    — Ah bon, je pensais que tu disais non en ne sortant pas de ta chaise
    
    Et là elle me répond :
    
    — Non, au contraire !
    
    Mon sang ne fait qu’un tour ! Je ne dis plus rien, le temps s’est arrêté, je me penche doucement vers elle, elle s’est un peu redressée, elle me donne un baiser. Ah ! Que c’était bon de plonger mes lèvres contre les siennes, poser ma main doucement dans sa nuque, sentir ses bouclettes légères. Et, après ce smack tendre, l’entendre dire :
    
    — Oh ! C’est cool ça ! Je ne pensais pas que ça m’arriverait.
    
    Tu parles que c’est cool !
    
    — C’est comment ton prénom ?
    — Gigi.
    — Et moi c’est Phil.
    
    Je lui dis que je vais revenir après manger. Elle me dit « oui ». Je lui demande si elle a déjà fait l’amour avec un couple, parce que je veux faire l’amour à tous les trois. Elle fait la moue, répond "Non", puis se reprend d’un « Oui, ...
    ... peut-être » par peur de me perdre. Je file avec mes vélos.
    
    Il est midi, on mange au mobile-home avec ma copine. Après manger, on s’assied sur le canapé. Il fait chaud, elle adore l’heure de la sieste. On s’embrasse, je suis chaud comme une belette. Je passe une main sous son tee-shirt, j’attrape un de ses jolis seins, ses tétons durcissent en deux secondes. Comme une furieuse, elle ne résiste pas à descendre mon short. Elle me regarde en souriant en sortant ma queue gonflée à bloc par toutes ces émotions, elle la décalotte et, comme d’habitude, l’engouffre en salivant à merveille sur mon gland bien doux. Je vois ma longue queue disparaître dans sa bouche, ses mains caresser mes bourses d’amour. Elle suce, elle suce, elle aime et moi aussi, elle adore me sucer et moi j’adore voir ses lèvres, toutes écartées par la largeur de mon sexe, s’appliquer à me donner de la douceur. J’enlève son short, je caresse l’intérieur de ses cuisses, elle est complètement trempée. Quelle gourmande ! Des fois je la compare à un diesel. Elle a parfois du mal à démarrer, par contre, quand c’est parti, c’est parti ! Je n’en peux plus, il faut que je vienne en elle. On file dans la chambre à l’abri des regards, on baise dans plein de positions et on finit moi derrière et elle devant, sur les genoux, cambrée, avec sa chatte qui regarde le ciel. Je ne peux pas résister à lui donner des coups de langue sur toute la hauteur de sa fente, à titiller du bout de ma langue son petit œillet. Je ne l’ai encore ...
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