Mathilde et Pauline 07
Datte: 26/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Helene_de B, Source: Hds
... atteignirent le creux des reins. Mathilde se raidit par réflexe, surprise que l’impact ne soit pas aussi douloureux qu’elle l’avait imaginé. Le deuxième coup frappa au même endroit tout comme le troisième. Mathilde gardait les yeux fermés, très concentrée à la fois sur ce qu’elle subissait plutôt bien et surtout sur cette onde de chaleur qui l’envahissait sournoisement.
Pauline continua, visant le dos, des omoplates aux dessous des fesses. La peau de Mathilde se colorait, de rose soutenu elle tendait progressivement vers le rouge foncé. Pauline avait choisi ce martinet parce qu’il avait la particularité de chauffer la peau, les lanières en daim cinglaient, certes, mais pas autant qu’un martinet à chien qui pouvait provoquer des boursouflures. Pauline estima que le dos avait été assez sollicité et se rapprocha de Mathilde, lui caressant à nouveau les fesses cramoisies, puis descendit vers l’entrejambe avec un doigt inquisiteur. Mathilde était inondée. Sentant le doigt de Pauline sur cette zone intime, elle ne put cacher son émotion et refouler un râle qui pouvait s’apparenter à un sanglot. Elle savait maintenant ce qui la taraudait depuis qu’elle était attachée à ce piton : la honte de sentir son sexe la trahir. Toute cette mise en scène lui plaisait ; la position, la contrainte, les coups de ce martinet qui la mettaient dans cet état. Pauline se fit plus précise et caressa l’anus. Celui-ci était bien ouvert, suffisamment pour qu’elle introduise le gode en verre utilisé ...
... lors de la soirée chez elle dans la salle de bain. Mathilde poussa ses fesses en arrière pour faciliter l’intromission.
Pauline se positionna face à Mathilde et commença à la fouetter méthodiquement sur les seins, les hanches, la vulve et sur l’avant des cuisses. Quelque temps plus tard, Mathilde ne pouvait plus contenir ses larmes, son maquillage coulait, laissant des traces grises sur ses joues. Elle prit sa respiration et d’une toute petite voix, les yeux baissés, demanda à Pauline d’arrêter. Elle ne savait pas vraiment si c’était voulu, mais Pauline en lui fouettant le ventre et le sexe, avait laissé plusieurs fois les lanières taquiner ses petites lèvres et son clitoris hypertrophiés. Pauline la délivra, pas trop capable de garder son équilibre.
- Viens, allonge-toi et ferme les yeux. Elle déposa un léger baiser sur chaque paupière puis un dernier sur ses lèvres sèches. Il restait presque quatre heures avant le retour de la mère de Mathilde et il n’était pas question de revivre l’épisode de la dernière fois.
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- Je ne vais pas te mentir ni me trouver des justifications, j’ai beaucoup aimé, j’ai adoré toutes ces sensations contradictoires, ces sentiments entremêlés entre l’irrationnel et la demande du corps qui en veut encore. Toi tu sais ce que je veux dire, et aujourd’hui tu es la seule à pouvoir me comprendre. Mathilde était passée par la salle de bain, pour se refaire une petite beauté, se rafraîchir et surtout pour se voir dans le grand miroir. Les ...