Mathilde et Pauline 07
Datte: 26/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Helene_de B, Source: Hds
... ses jambes pour mieux les relever et exposer ainsi son sexe déformé à son amie qui n’en perdait pas une miette. Pauline se félicitait d’avoir utilisé cet accessoire et était loin de se douter que Mathilde allait adorer tout ce qui allait suivre.
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Mathilde jouit plusieurs fois, rien qu’avec la bouche de Pauline. Elle était régulièrement secouée par des réactions nerveuses comme si les jouissances nombreuses n’arrivaient pas à se calmer. Pauline se glissa près d’elle et la prit dans ses bras, lui murmurant à l’oreille que tout allait très bien se passer. Mathilde opinait, partagée entre une envie de dormir et une autre jouissance peut-être plus forte que les précédentes. Elle fit un rapide bilan : depuis qu’elle avait rencontré Pauline, sa vie sexuelle avait pris un tournant aussi magique qu’opprimant, elle était passée d’une fréquence masturbatoire de trois fois par semaine à plusieurs fois par jour, sans compter les séances à deux, toujours réussies. Elle adorait que l’on s’occupe d’elle et Pauline y parvenait très bien. Cette spirale lui faisait un peu peur, mais elle savait aussi que ce n’était peut-être que l’emballement du début, plus tard les choses se calmeraient naturellement. Pauline la tira de sa rêverie éveillée.
- Tu veux essayer le martinet ? Je vais y aller doucement, mais c’est toi qui décideras de la force des coups et d’arrêter si c’est trop douloureux. Mathilde fit signe de la tête disant qu’elle était prête, mais n’en menait pas ...
... large.
Elle se leva et attendit au milieu de la chambre, jambes un peu écartées, petites lèvres démesurées et clitoris turgescent. Pauline fouilla dans son sac et sortit un martinet noir à longues lanières larges et plates, une corde en nylon noir également et deux bracelets en cuir reliés entre eux par une courte chaînette. Elle prit la chaise de bureau et monta dessus. L’appartement avait été construit au début des années cinquante, époque ou l’on prévoyait des lustres dans toutes les pièces. Un piton était fixé au milieu du plafond peint de la même couleur et passait presque inaperçu. Pauline glissa un bout de la corde dans l’anneau et descendit de la chaise.
- Viens, je vais te mettre les bracelets. Mathilde présenta ses poignets, une minute plus tard, la corde attachée à la chaînette, Pauline la tirait, forçant Mathilde à lever les bras et monter sur ses orteils. Celle-ci sentit en elle une sensation curieuse, un mélange de sensations encore inconnues, beaucoup plus fortes que ce qu’elle avait ressenti jusqu’à maintenant. Elle avait envie de faire pipi, la position très inconfortable la laissait malgré tout dans un certain confort cérébral.
Pauline avait enfilé son mini-slip. Sans chaussures, Mathilde semblait beaucoup plus grande qu’elle, surtout dans cette position. Pauline tournait autour de son amie, caressant ses fesses, son ventre, son dos, là où les morsures du martinet allaient marquer la peau tendre et douce.
Pauline se recula et lança son bras, les lanières ...