1. La révélation


    Datte: 24/10/2019, Catégories: h, fh, hplusag, extracon, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: François G., Source: Revebebe

    ... d’œil à l’appui).
    
    Gros naïf, je me suis assoupi. Ce sont ses rires qui m’ont réveillé. La chambre était au premier, volets mi-clos, je me suis approché de la fenêtre. Elle était sur un transat à bronzer et Jean-Pierre s’amusait à l’empêcher de se relever. Rien de bien méchant. J’allais pousser les volets pour leur dire de faire moins de bruit quand un geste m’a arrêté.
    
    Il venait de passer la main sous le maillot et elle ne protestait pas. Le silence s’était fait… il la caressait en la regardant dans les yeux. Elle se laissait faire. Pour moi le monde s’écroulait et je me traitais de tous les noms de ne pas avoir su réagir plus tôt. Non pas par manque de courage, mais sans doute par quelque chose qui me disait qu’une réaction violente pourrait mettre un terme définitif à notre amour, j’ai décidé… de ne rien décider et de laisser faire pour voir (dans tous les sens du terme). Le « pelotage appuyé » a duré quelques minutes avant qu’elle ne lui fasse « chut » en désignant la fenêtre. J’ai cru avoir été repéré quand je l’ai vue se diriger vers la maison. Je me suis vite recouché et j’ai fait semblant de dormir. Elle s’est approchée et m’a dit :
    
    — Chéri, on va marcher vers la carrière avec JP. Repose-toi.
    
    J’ai grommelé quelque chose et elle est redescendue. Je me suis relevé et je les ai regardés s’éloigner. Il ne se gênait même pas pour la tenir par la taille, la main sur la fesse dans le maillot. Je suis vite descendu pour les suivre à distance. Contrairement à ce ...
    ... qu’elle m’avait dit, ils prirent la direction d’un petit étang isolé et non de la carrière (direction opposée). Ils entrèrent dans le bois qui mène à cet étang et, à l’abri des regards, échangèrent un long baiser. Il y eut, semble-t-il, une petite conversation où je la voyais faire non de la tête. Lui riait. Je croyais bêtement qu’elle revenait à la raison. Mais j’ai compris bien vite qu’il ne s’agissait pas de ça. Il essayait de la convaincre de marcher nue dans la forêt. Elle était pudique et là je la retrouvais un peu. Mais quelques baisers eurent raison de sa résistance. Doucement, il lui dégrafa le soutien-gorge. La culotte du maillot roula bien vite au sol. Même de loin, on pouvait voir que c’est une vraie brune…
    
    Et même une très jolie brune, petite, 1,58 m, et qui devait peser à l’époque 50 kg, de jolis seins rentrant dans un 90b, aréoles claires et moyennes, petits tétons, et une toison brune fournie et entretenue.
    
    J’étais donc à les observer à 50 mètres en me planquant le mieux possible. J’étais partagé entre douleur de voir la réalité en face, blessure de la voir s’amuser, se laisser aller vers des choses qu’elle n’aurait jamais faites avec moi, donc jalousie profonde, mais aussi, alors qu’il m’aurait suffi de me manifester pour que tout s’arrête (avec aussi le risque qu’elle me quitte), aussi donc une curiosité et un trouble naissant. Si ma tête souffrait, mon corps réagissait autrement. Je m’étais mis à bander.
    
    Il a fini de la convaincre de marcher nue dans ...
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