1. La révélation


    Datte: 24/10/2019, Catégories: h, fh, hplusag, extracon, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: François G., Source: Revebebe

    ... la petite allée qui menait à cet étang. Nue devant lui à quelques mètres. Petit jeu qui semblait plaire de plus en plus à ma douce car je la voyais marcher de manière de plus en plus lascive et sensuelle. De mon côté, je perdais un peu de terrain car elle se retournait vers lui souvent et j’avais peur de me faire repérer. Le chemin n’était pas droit et c’est pour ça que je n’ai pas pu voir comment il l’a rattrapée. Mais quand j’ai à mon tour pu les voir, la situation avait évolué.
    
    On était en vue de l’étang. Et ils ne marchaient plus mais n’étaient pas inactifs au contraire. Jamais je n’aurais cru ma douce épouse capable de ça. Je tombais encore une fois de très haut. Elle était face à un arbre, les mains appuyées contre le tronc, cambrée, jambes écartées, et le type la pénétrait. J’étais fou de douleur de la voir s’offrir à un autre « mâle » que moi. Mais en même temps, deux forces me poussaient à ne pas révéler ma présence : une petite voix qui me disait d’être patient, qu’il fallait qu’elle vive cette expérience et qu’elle me reviendrait, et une autre, plus perverse, qui me disait de me faire plaisir en jouant au voyeur. J’ai donc continué à « mater ». J’ai même réussi à m’approcher à une vingtaine de mètres. Suffisant pour voir la pénétration, le sexe de ce type se perdant dans les poils de ma chérie, ses fesses et ses reins cambrés, son offrande totale et les coups de reins puissants de JP. Il la prenait presque violemment. En silence de son côté. Quant à elle, ses ...
    ... soupirs, ses gémissements étaient de plus en plus audibles. Jamais je ne l’avais prise comme ça. Moi qui étais toujours doux avec elle, je découvrais qu’elle aimait se faire « baiser », se faire prendre de manière bestiale et que ça la faisait jouir bruyamment, elle qui était peu expressive avec moi. Je me trouvais minable de n’avoir pas su oser lui faire ça. Mais toujours dans ma contradiction intérieure, j’avais sorti mon sexe et je me masturbais jusqu’à la jouissance. Mon sperme allait atterrir sur les feuilles du buisson qui me cachait. Ce n’était pas le cas de celui de JP qui avait été bien au chaud au fond de la grotte de ma douce. Elle se redressa, il se colla à elle, dos à lui, elle tourna vers lui un visage radieux et chercha ses lèvres. Je crois que c’est ça qui me fit le plus mal.
    
    La chute fut rude en effet, et plus encore le baiser post-coïtal que l’accouplement lui-même. Dans ce regard échangé, j’ai surpris de la reconnaissance, de la soumission aussi. Il l’a entraînée toujours nue vers le petit étang. Et là, ils se sont baignés en se chahutant puis en s’embrassant dans l’eau. J’ai compris que JP avait retrouvé de sa vigueur quand j’ai vu ma chérie ouvrir la bouche en se cambrant en arrière alors qu’il l’enlaçait dans l’eau. Je ne la reconnaissais plus. Elle si pudique, se baignait nue et en plus… se plantait sur ce type au risque d’être surprise par n’importe qui. Mais le seul « n’importe qui » qui traînait par-là, c’était moi, et je continuais à sentir mes ...
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