1. La révélation


    Datte: 24/10/2019, Catégories: h, fh, hplusag, extracon, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: François G., Source: Revebebe

    ... fêtes avec les « hippies ».
    
    J’étais trop « fonctionnaire » dans ma tête pour m’intégrer, et plus ça allait plus je me marginalisais au contraire d’elle qui s’éclatait de plus en plus. Elle avait changé de look (coiffure afro), portait des robes amples d’été (souvent légèrement vêtue dessous) ou des jeans serrés. Je me sentais exclu… dépassé et triste. Mais je l’aimais et elle m’aimait aussi malgré tout alors ça continuait tant bien que mal. Je comptais aussi sur la présence permanente de la femme de Jean-Pierre pour veiller à ce que ça ne dérape pas, bien que je commençais à avoir des doutes. Je suis un piètre danseur et donc je faisais souvent banquette durant les fiestas organisées à la ferme durant les chaudes soirées d’été.
    
    Et c’est vrai que, durant ces fêtes, je la découvrais totalement différente. Ce n’était plus la lycéenne réservée et « pure » que j’avais connue mais une jeune femme en train de s’ouvrir à un autre monde dans lequel je ne voulais pas la suivre, arc-bouté sur mes principes. Elle avait essayé, ils avaient même tous essayé pour être honnête de m’intégrer, mais je n’y arrivais pas. Je participais donc très peu, faisais souvent la gueule, ce qui n’arrangeait rien. Les seules fois où ça se passait bien, c’était lorsque des amis à nous étaient conviés, en particulier un couple qui partageait mon approche, dont je reparlerai plus tard. Donc, pendant que je restais assis à attendre la fin en buvant, pas trop, ou en parlant, rarement, avec quelqu’un, ...
    ... elle faisait la fête sous mes yeux. Ce qui me rassurait, c’est que j’avais toujours la primeur pour la seule danse qui me convenait, les slows. Mais si au début j’avais la primeur et l’exclusivité, petit à petit, j’ai perdu cette exclusivité. Et je n’ai pas remarqué que le type avait sa « part de marché » qui augmentait régulièrement.
    
    Il ne venait à cette ferme que les week-ends et je ne m’inquiétais pas trop sachant qu’il venait accompagné et qu’en semaine il était dans la même ville que moi. Seulement voilà, en août il a pu y venir seul. Il n’y avait pas de fête prévue le week-end, mais il nous a invités tous les deux. Je travaillais de nuit et je ne pouvais y arriver que le samedi vers 12 h. Carole m’a dit très naturellement qu’elle irait coucher là-bas dès le vendredi soir. Elle m’a expliqué que comme ça tout serait prêt pour mon arrivée. Je n’ai osé rien dire pour ne pas passer pour un affreux ringard.
    
    Je suis arrivé fatigué le samedi. Elle était en maillot de bain deux pièces noir. Elle semblait un peu gênée en me voyant, mais je ne l’ai pas relevé. Ils avaient préparé un très bon repas et pour une fois l’ambiance a été détendue car ils évitaient les conversations idéologiques. J’ai baissé la garde et je me suis laissé aller à boire un peu trop. Comme j’étais crevé, je suis allé, en m’excusant en plus, faire une sieste dans la maison. Elle a poussé la malice jusqu’à me chuchoter :
    
    — Va te reposer mon chéri, je viendrai te réveiller quand tu seras en forme (clin ...
«1234...8»