Ta femme mise à nu (partie I) - Histoires de Sexe

Ta femme mise à nu (partie I)

... de son dos. Elle buvait, me laissant sa croupe nue à portée de main. La décence aurait voulu que je retourne au pieu. Le bon sens aurait voulu que je m’approche de son petit cul en baissant mon boxer. Je n’ai pas bougé. Elle a fait mine de m’ignorer ainsi une bonne vingtaine de secondes puis elle s’est retournée en chancelant. Une fois face à moi, elle s’est retenue en arrière pour ne pas tomber. La paume des mains agrippées au lavabo. La poitrine en avant. Les fesses bien collées contre le rebord du lavabo et les cuisses écartées. Elle n’aurait pas pu trouver une meilleure position pour tenir en équilibre.

Après m’avoir offert sans complexe son divin postérieur, elle me donnait à voir tout le reste. Ses seins ronds aux pointes dressées vers moi. Son sexe que cachait à peine la nuisette. Je la dévorais des yeux sans rien dire. Elle me fixait d’un regard dont je ne pus tout à fait saisir le sens. Il y avait de l’envie dans ses yeux et quelque chose d’autre aussi. Elle les a baissés lentement sur mes épaules, ma poitrine, pour finir sur mon boxer. Un large sourire a illuminé son visage. Faut dire que je bandais ferme et, vu la taille de l’engin, ça lui a plu tout de suite.

— Tout va bien ? J’ai fait un mauvais rêve, qu’elle me dit.
— Et maintenant, ça va mieux ?
— J’ai un peu trop bu aussi. Et toi… c’est tes rêves qui te font cet effet-là ?

La vicieuse savait très bien ce qui tendait ma verge vers le ciel.

— Allez, je te laisse à tes muses, qu’elle m’a dit en se ...

... décrochant du lavabo.

Elle a fait trois pas en titubant puis, pour éviter la chute, elle s’est retenue à moi, une main sur mon épaule, l’autre agrippant ma pine… comme par enchantement. Sa main la malaxa entre ses doigts fins.

— Bonne nuit, qu’elle me dit, plein sourire.

Elle me décocha un rapide baiser sur la joue et continua son chemin en titubant jusqu’à la chambre où tu dormais du sommeil du juste. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. On est parti ensemble alors qu’elle dormait encore.

Je l’ai revue quelques jours plus tard. Sans toi. Je me baladais dans la ville et elle m’a arraché à mes rêveries solitaires de sa voix enjouée. Elle revenait de ses cours. Ravie de me retrouver, elle m’a proposé un verre que je n’ai pu lui refuser. Nous nous sommes installés dans un estaminet du centre. J’avais rencontré trois jours auparavant ta chérie, elle m’avait quitté en me touchant le sexe, et j’étais à présent face à face avec elle. Je fis mine de ne pas y penser et de paraître naturel. Elle, elle rayonnait de naturel. L’éclat de ses yeux avait de nouveau changé, à mi-chemin entre l’innocence des premiers instants et l’étrangeté érotique de son regard lorsque nous étions dans la salle de bain. Son sourire en coin semblait retenir des secrets qu’elle détiendrait sur moi. Son chemisier semblait prêt à craquer sous la pression de ses seins, prêts à sortir comme un diable de sa boîte. Sa jupe serrée remontait assez haut sur ses cuisses qu’elle tenait croisées, de côté. Elle ...