1. Ta femme mise à nu (partie I)


    Datte: 21/10/2019, Catégories: fhh, extracon, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, tutu, lettre, extraconj, Auteur: Le Messalinien, Source: Revebebe

    ... et quand elle est garce. Elle t’a entraîné à danser avant qu’elle ne se laisse entraîner pour d’autres danses, dans d’autres bras, par d’autres partenaires qu’elle enveloppait de ses grands yeux bleus. Ta rage s’est alors métamorphosée en des réflexions qu’elle reprenait la balle au bond pour te les renvoyer, à ta figure meurtrie. Tu voulais partir. Évidemment, pas elle. Alors pour te sauver la face, pour éviter un drame pathétique, j’ai réussi à vous convaincre tous les deux de s’en aller pour prendre un dernier verre quelque part ensemble. Il n’y eut pas de dernier verre mais vous m’avez invité à dormir puisque vous habitiez à quelque pas.
    
    Sur la route, on la fixait, elle et son petit cul, qui sautillait devant nous, saoule, les pieds nus sur le macadam, les talons dans les mains. T’en menais pas large, mon vieux. T’avais perdu ta gouaille et ta fierté. Pas elle. Une fois arrivés, nous avons parlé, elle et moi, l’un à côté de l’autre et toi tu nous regardais abattu, dans ton fauteuil. Elle parlait d’une voix douce et piquante, les yeux brillants. Un moment, j’ai eu la sensation que tu avais abdiqué. Que j’aurais pu la prendre et la baiser, là, devant tes yeux de chien battu. Et même que tu attendais cela, vicelard. Peut-être que je devais me tromper puisque tu as décrété qu’il était temps de se coucher. Saouls comme nous étions, c’était le plus sage. On a déplié le canapé du salon sur lequel j’étais censé pioncer et vous vous êtes éclipsés dans la chambre à côté.
    
    Faut ...
    ... croire que ta bru m’avait déjà refusé le privilège de me laisser aller dans les bras d’Orphée car, à peine avais-je fermé les yeux, que je l’entendais dire d’une voix impérieuse : « baise moi », « viens », « vas-y », « hmmm », « encore », « plus fort ». Elle me refilait une sacrée trique, sa petite voix de chatte en manque de sexe. Je revoyais ses grands yeux bleus gourmands et j’imaginais ses hanches, ses fesses, sa bouche fendillée par le désir. Je me caressais sous vos draps, la hampe bien en main. Et puis il n’y a plus eu que ton râle à toi, grave, profond, arrivé bien trop tôt. Et le silence. Pas de doute qu’après ça, tu te sois endormi d’un trait. Alors que moi, que tu me prêtes la voix de ta donzelle en rut, ça m’avait sacrément gonflé la libido et exterminé toute envie de pioncer.
    
    Ça m’a pris un moment d’essayer de virer mes pensées érotiques du cerveau et de me décider à dormir. Une fois les paupières closes, la lumière s’est allumée dans la pièce d’en face. Elle venait de la salle de bain. Je me suis approché de la porte grande ouverte et j’ai trouvé, devant moi, deux longues jambes, gracieuses, bien écartées et surmontées d’une magnifique paire de fesses blanches. Bien rondes. Bien fermes. Une petite nuisette blanche s’arrêtait pile là où commençait la raie des fesses. L’eau coulait dans le lavabo. Ta chérie a relevé la tête, m’a vu dans le miroir puis elle s’est rebaissée en serrant les cuisses, ce qui eut pour effet de remonter un peu plus sa nuisette le long ...
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