Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (4)
Datte: 16/10/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: l'estello, Source: Xstory
... Mais pour aller où ?
J’y suis ! Ma sœur est partie quelques jours en congés, j’ai les clés de son appart. Je n’ai qu’à prétexter y aller pour arroser les plantes, et faire un brin de ménage avant son retour et le tour est joué. Mon mari n’aime pas les plantes et n’aime pas ma sœur. Aucune chance qu’il décide de venir avec moi. Il me suffira de parvenir à dire à Jordan, où, et à quelle heure. A lui de se trouver une raison de partir et laisser ma fille à la maison. Je suis un génie du crime ! Maintenant, place à l’action.
Mon mari fait une sieste, je monte à l’étage. Je frappe à la porte de ma fille et la réponse est immédiate, me donnant l’autorisation de rentrer. Je l’informe que je pars chez sa tante et que je rentrerai en début de soirée. Un regard vers Jordan, il m’adresse subtilement un clin d’œil, je pense qu’il a compris.
Quelques minutes après mon départ, je reçois un SMS : « je serais là dans une heure ». Un ouf de soulagement, mais également une montée de stress; s’il vient, je ne pourrais pas reculer.
J’arrive chez ma sœur et je profite du temps que j’ai devant moi pour effectivement arroser les plantes et ranger un peu, histoire de ne pas me faire griller. Jordan ne tardera pas, je file à la salle de bain, je me regarde, ma foi, pas trop mal. Le seul hic, j’ai mis des sous-vêtements on ne peut plus basiques, soutif et culotte noire. Si je veux lui faire voir que je ne suis pas une sainte, il va falloir que je me dépanne chez ma sœur. Dieu merci, sa ...
... commode est pleine, et le choix, varié. Je garde le soutif, car aucun n’est à ma taille, en revanche, je choisis un string en tulle noir complètement transparent. Un peu serré, j’avoue, je ne passerai pas une journée avec, mais il fera le job pour cette occasion. Pas question, non plus, de remettre mon bermuda et mon débardeur; j’opte pour une petite robe estivale dénichée dans le placard de ma sœur, bleu, au-dessus des genoux avec des boutons devant, sur toute la longueur.
Je prends soin de laisser les deux boutons les plus hauts ouverts, afin de ne pas me donner un air trop étriqué.
Je suis prête et j’attends non sans une légère (voire plus) appréhension.
Enfin, on sonne à la porte. Nerveuse, les mains moites et tremblantes, je vais ouvrir. Il me suit dans l’appartement, ma gorge est nouée et mon souffle est court. Je me tourne vers lui et il rompt le silence :
— Waouh ! Ca change du bermuda de touriste allemande !
— Toujours très fin, tes compliments...
— Alors, vous m’avez fait venir pour quoi ?
— Je...je me le demande encore.
— Finalement, il te plaît mon petit jeu... (J’avale péniblement ma salive)
— Il...il faut croire ;
Ses mains se posent alors sur mon torse, à l’endroit laissé visible par les boutons ouverts, puis elles remontent sur ma gorge, la contournent et saisissent ma nuque. J’aime cette sensation de puissance qui m’étreint. Je me détends alors qu’il recommence ce circuit deux ou trois fois. Il descend ses mains vers mes seins, et ...