1. Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (4)


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... que je peux faire. J’essaye d’apaiser ma respiration pour ne pas entendre mon cœur battre dans mes oreilles et enfin j’entends des bruits de succions d’abord, une sorte de « teu... teu... » comme lorsqu’un enfant fait claquer sa sucette en la sortant de sa bouche tout en la serrant entre ses lèvres.
    
    Dans ma tête, toutes les images qui peuvent expliquer ce bruit défilent : il suce ses jolis seins, à moins que ce soit elle qui aspire les siens, son torse fort est si attrayant. Ou alors...c’est son sexe qu’elle le fait sortir de sa bouche à grand renfort de bruit scabreux. Ma fille ! Si jeune; faire ça ? J’en ai froid dans le dos et...chaud partout ailleurs. J’avoue, l’image m’excite, la température monte dans mon bas-ventre. Les bruits de succion cessent, et très vite, ce sont des « Oh, oui, oh... » qui les remplacent. J’ai l’image de mon bébé qui s’emploie à lustrer ce membre énorme de la bouche large et pulpeuse que la nature lui a donné. Cela m’excite encore plus, et sans décoller l’oreille, j’appuie mon épaule contre la porte pour plus de stabilité et je passe ma main sous mon short, caressant ma cuisse de mes quatre doigts...et mon minou avec le pouce. Un frisson monte du creux de mes fesses jusqu’à la base de mon crâne. Soudain, à nouveau, le bruit de succion.
    
    Plus fort, plus bref, il claque dans le silence.
    
    La voix de ma fille se fait entendre : « Alors, ça te plaît ? » Pas de réponse orale, sans doute est-elle marquée sur son visage ou dans la raideur de sa ...
    ... queue. « Tu crois que ta mère suce aussi bien que toi ? »...Eclat de rire général, enfin, sauf moi; je suis stupéfaite autant par la question que par les rires qui ont suivi, en particulier, ceux de ma fille. « Ma mère, impossible; déjà qu’elle nous a eus avec le Saint-Esprit ! » La garce ! « Ou alors, vraiment du bout des lèvres, pour avoir la paix...une fois par an, le 31 décembre, quand elle a bu deux verres et qu’elle est bourrée ! »
    
    C’est donc comme cela que ma fille me voit. Une sainte dont elle raille la frigidité. Comment lui donner tort ? Elle est si proche de la vérité. Je chasse ma colère et mon indignation pour reprendre une écoute attentive plusieurs secondes sans pouvoir ne rien distinguer, puis, enfin, c’est elle qui gémit; d’abord timidement, comme une enfant fiévreuse, puis avec plus de vigueur, ce sont des « ah... ah... ah » qu’elle laisse échapper à une cadence de métronome. J’imagine l’épaisse et longue verge de Jordan qui retrousse les lèvres de son minou et bute dans le fond de sa matrice. Je me déteste à ce moment-là, et en même temps, mon pouce a trouvé le chemin jusqu’à mon bouton qu’il masse au rythme des gémissements de ma progéniture.
    
    — Baise-moi, baise-moi...ces mots si durs associés au visage si doux de mon enfant, je n’aurais jamais pu croire qu’ils m’ouvriraient la voie vers un plaisir solitaire jusqu’ici trop peu pratiqué. J’ai, à présent, glissé entièrement ma main dans mes dessous; mes lèvres écartées entre mon index et mon annulaire, ...
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