1. Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (4)


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... avoir fini.
    
    — OK. Et bien, mettez la table tous les deux, j’ai acheté un poulet rôti et des pommes de terre pour midi. Je monte me changer et on mange.
    
    Jordan est seul là-haut, je ne dois pas le rater. Je l’entends siffloter dans la salle de bain, je me dépêche de me changer et je me poste dans le couloir. Il sort, torse nu, en boxer, me lâchant un simple « salut » dans un regard furtif. Il s’éloigne vers la chambre, j’inspire et prends mon courage à deux mains :
    
    — Viens ici toi, lui dis-je, en chuchotant, mais avec autorité.
    
    Il se retourne et me fait face. Je m’approche de lui en soutenant son regard sans trembler, bien que je sente ma mâchoire se crisper un peu.
    
    — Alors comme ça, je ne sais pas faire de fellation moi ?
    
    — Hein...? Il feint de ne pas comprendre.
    
    Ma main droite se pose sur son caleçon, à l’endroit précis de sa bosse
    
    — Et là, je donne toujours l’impression d’être une sainte ou une none ?
    
    — Hey ! Ils sont juste là en bas !
    
    — Comment ça ? Le « grand » Jordan aurait-il peur ?
    
    — Hum...j’ai peur de rien moi.
    
    Sans le lâcher des yeux (il ne me lâche pas non plus), je masse son sexe que je sens s’épaissir sous mes doigts. Il envoie sa main sur mon sein, je l’enlève avec force.
    
    — Tu me touches si je t’y ai invité !
    
    — ...OK.
    
    Sa queue durcit encore, je la sors du caleçon, elle est belle et déjà dure, mais pas à son maximum. Je l’attrape à pleine main et la branle frénétiquement. Jordan passe sa langue sur ses lèvres, je sens ...
    ... qu’il aime cela. Il pose ses mains sur ses hanches et bascule son bassin vers moi comme pour m’inciter à le masturber encore plus énergiquement. J’essaye d’accélérer encore, et sa queue est, à présent, la plus dure, et la plus gonflée que je puisse imaginer.
    
    C’est le moment que je choisis pour m’arrêter subitement.
    
    — Va t’habiller, on passe à table.
    
    — Quoi ? Tu vas me laisser comme ça ?
    
    — Tu m’as bien laissé à genoux sur le carrelage toi. Chacun son tour. Dépêche-toi de descendre, et je te tiens au courant pour la suite.
    
    Et la suite, j’allais l’organiser de main de maître, me découvrant un certain talent dans la manigance et le complot ! Et les manipulations que j’allais mettre en place me procurèrent, il est vrai, une certaine montée d’adrénaline et un stress « plaisant » que je ne connaissais pas.
    
    Pour le moment, j’ai les jambes en coton, le cœur qui bat à tout rompre, et je m’efforce de retrouver mon calme avant de descendre.
    
    Le repas est terminé, les jeunes sont montés regarder un film dans la chambre, mon mari, sur le canapé, regarde un reportage sportif et ne devrait pas tarder à s’assoupir. Dans la salle à manger, je bois un thé en réfléchissant au meilleur moyen de me retrouver seule avec Jordan.
    
    J’envisage plusieurs solutions, comme demander à ma fille et mon mari de partir. Mais pour quel motif ? Rien qui tienne la route. Et faire quelque chose dans la maison en présence de tout le monde, beaucoup trop risqué. C’est nous qui devrions partir. ...
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