1. L'autoroute du plaisir


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Laurencec, Source: Hds

    ... pourquoi nous ne reculions pas plus mais le temps d’y penser que mon chauffeur me brandissait la queue m’implorant de le sucer. Il me fallait cesser de réfléchir et ne penser qu’au plaisir pour ne rien regretter comme c’est souvent le cas. Je devais ne penser qu’au plaisir et vu mon état d’excitation ce ne fut pas bien compliqué !
    
    J ai sucé cette superbe queue épaisse et bien tendue sous ses râles et encouragements. Je comprenais le sursaut que j’avais eu dix minutes plus tôt lorsque cette verge était entrée en moi. La fièvre faisait rage et je m’appliquais à le lécher le mordiller comme une bonne salope que j’étais. Toujours à genoux il a baissé une à une les bretelles de mon body me palpant les seins, me pinçant les tétons déjà bien durcis par l’excitation. Le type m’a ensuite couchée sur le dos me troussant la jupe et m’a léché le minou de longues minutes. J’ondulais des hanches gémissant, lui tirant par moment les cheveux preuve d’un désir fou de me faire sauter ! Je ne pus contenir mes cris lorsque enfin il s’est positionné entre mes cuisses ouvertes et à guidé son pieu en moi. Il s’est rué avec ce côté bestial qui me plaît tant. Jambes en l’air je gémissais de plaisir à chacun de ses coups de queue. Sa barbe m’irritait le cou, sa respiration me laissait penser qu'il arrivait au plaisir extrême de la jouissance. Mais non, je fus surprise, voire déçue qu'il se retire ! Haletante et au bord de l’implosion je le regardais se redresser avec peine. Une main sur mon genou ...
    ... il me demande alors de me retourner. Je me suis retrouvée à quatre pattes sous son emprise et quelle emprise ! L’entre jambes de mon body ouvert ses gros doigts ont repris possession de ma chatte dégoulinante, ses râles, ses compliments. En quelques secondes je remuais les fesses, je tortillais le cul lui demandant de me baiser ! Sa grosse queue surpuissante s’est alors mise à me pilonner ! Ses doigts ancrés dans mes hanches, ses coups de reins violents je me suis mise à hurler, le nez sur la couverture. Il s’est littéralement déchaîné sur mes fesses avec une rare violence. Je ne me contrôlais plus, rugissant, criant de plaisir. Les doigts agrippés au tissu, le visage plaqué au sol je lâchais prise lorsqu’une main est venue me redresser la tête ! Malgré les spasmes, les convulsions, j’ouvrais les yeux mais n’avais pas le temps de comprendre qu'une queue me pressait les lèvres ! En pleine jouissance un type, un second type venait me mettre sa queue dans la bouche. Trop ailleurs pour quoi que ce soit je suçais cette queue . A quatre pattes sur le bord de la route je me faisais littéralement démonter les fesses et suçais une queue tout aussi inconnue que celle qui me faisait jouir. Les spasmes un peu calmés, je prenais attention au jeune type sorti de nulle part à qui je suçais la queue tandis que j’entendais mon premier partenaire grogner qu’il pouvait y aller, que j’aimais la bite ! Rien que ces propos me replongeaient dans une envie folle de continuer. Le type derrière moi ...
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