1. L'autoroute du plaisir


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Laurencec, Source: Hds

    ... demandant si je ne cherchais pas à prendre du bon temps. Confuse, je n’ai su répondre. Je me contentais de sourire me tournant vers la route pour échapper à son regard en prenant une grande bouffée sur ma cigarette. À l’inverse, le type prenait confiance et me vantait d’avoir de superbes jambes. Une fois de plus je le remerciais cachant mon émoi derrière un grand sourire. Un véhicule est alors passé devant nous, instinctivement je regardais en sa direction et là une bonne grosse main est venue se plaquer sur mes fesses, je n ai pas bougé, bras croisés j’ai laissé faire l’entendant me dire qu’en plus j’avais un joli cul ! De ses gros doigts, le type à vite saisi le tissu, se frayant un chemin le long de ma raie trempée. Quel bonheur d’enfin sentir cette emprise ! Je donnais sans chercher plus loin mon autorisation en écartant légèrement les jambes et me cambrant. Je me délectais déjà de cette caresse, fermant les yeux, appréciant ce doigt qui me fouillait ! A cet instant, j espérais juste être tombé sur un type qui saurait me donner du plaisir, qui saurait me faire évacuer cette tension trop longtemps gardé en moi. Je ne fus pas déçue puisque mon cher compère s’est agenouillé derrière moi me troussant la jupe en grognant qu'il voulait voir ce joli fessier ! Son haleine chaude, ses petits baisers puis sa langue ont eu raison de mes dernières craintes ! Les mains plaquées sur la vitre j’ouvrais les jambes et sortais les fesses m’offrant à sa bouche gourmande. Le type après ...
    ... quelques coups de langue, m’écartait les fesses de ses pouces et m’administrait de grands coups de langue qui me faisaient gémir de bonheur. Lorsqu’il s’est redressé, il grognait qu’il avait envie de me baiser, je ne bougeais pas, me penchais de plus belle alors que j’entendais son ceinturon claquer. A sa façon de me prendre la hanche, je savais qu’il allait me donner du plaisir. Une entrée en moi digne de ce nom ! J’étais certes trempée mais son premier coup de rein m’a fait crier et bondir. Un « ho oui » m’échappa tellement l’envie était grande. Hélas, une voiture s’est arrêtée et nous avons dû cesser notre moment intime. Je tirai sur ma jupe tandis qu'il refermait son pantalon. le type de la voiture est passé devant nous un petit regard coquin et nous à saluer, mon chevalier m’a alors dit de le suivre derrière que nous serions plus tranquille .
    
    Je me suis laissé emmener par la main vers les camions, traverser la route comme une vrai pute qui se laisse entraîner sur un parking. Si l’image me troublait, je ne savais pas encore à quel point elle était réaliste ! Le type s’est arrêté entre deux camions, c’est vrai que garé en épi on ne pouvait quasiment pas nous voir. Au passage il ouvrait un coffre sur le côté et en sortait une couverture grise qu’il prenait sous le bras avant de m’emmener quelques mètres derrière sur la bordure d’herbe qu’il jugeait plus confortable. J’étais prise au jeu et je me suis agenouillée sur la couverture, là, en bordure de route. Je me suis demandé ...
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