1. L'autoroute du plaisir


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Laurencec, Source: Hds

    Quatuor sur autoroute
    
    A trop aguicher le mâle, on finit par le payer ! C’est un peu ce qui m'est arrivé en cette fin septembre. Partie seule en Normandie chez des amis tandis que mon mari bossait, J’avais profité d’une semaine de bon temps soldant ainsi mes heures supplémentaires cumulées depuis le début d’année. Mon séjour chez Marc et Sonia des amis de longue date s’était bien passé malgré une météo maussade. Seul bémol à mon séjour, ne connaissant pas le coin, j’étais restée avec mes amis toute la semaine ne profitant pas même d’une soirée pour me trouver un moment de plaisir. J’avais pourtant tenté deux soirs leur disant que je voulais les laisser en amoureux mais rien n’y a fait. Généreux et très sympas ils insistaient tous deux pour que je passe la soirée en leurs compagnie.
    
    Je m’étais déjà amusé un peu à l’aller sur la route en roulant la jupe remontée, petit plaisir perso que je m’accorde régulièrement. L'excitation était retombée doucement dès mon arrivée et je pense que si je n’avais pas eu à subir les cris de Sonia le jeudi soir, peut être que rien ne serait arrivé.
    
    Entendre mon amie gémir une bonne partie de la nuit sous les assauts répétés de Marc qui en plus est plutôt beau mec, cela me rendait limite jalouse. Moi qui ne subis que trop peu les velléités de mon mari, pour ne rien cacher, je me suis caressée dans le lit sous les grincements de sommier et autres gémissements.
    
    Tous cela pour vous dire que ce vendredi, jour où je reprenais la route, ...
    ... j’étais motivée, excitée plus que de raison et pourquoi pas me trouver une âme charitable qui saurait éteindre le feu qui brûlait en moi. Sur trois heures d’autoroute je me disais qu’il y avait peut être une possibilité. Ce matin là je me préparais tout en songeant à cela. Une petite jupe en jeans et un débardeur vert militaire suffisait à me rendre désirable. Je fermais ma valise prenant soin de laisser mes talons haut juste sur le dessus avec l’idée qu’ils pourraient m’être utiles! Je prenais une collation le midi et vers seize heures trente voire dix sept heures je saluais mes amis les remerciant chaleureusement de leurs superbe accueil.
    
    Je prenais donc la route en début d’après midi mais faisais une halte dans un super marché pour me fournir une boisson et de quoi grignoter sur la route. C’est en passant devant le rayon que je me suis dis : oui sympa une paire de bas sur la route ! La journée était grise, maussade, rien de drôle à porter des bas mais tellement plus plaisant pour ceux qui regardent. Je sortais donc du commerce avec mes emplettes et à peine engagée sur l’autoroute, je stoppais à la première aire de repos me stationnant le plus loin possible des autres véhicules. Je passais par le coffre et ma valise pour en extraire mes talons, non sans bien me pencher, tendant la croupe, excitée par la situation. Mes hormones étaient en fusion ! Les talons en main je ne prenais pas la peine de refermer la valise et c est au moment où j’allais claquer le hayon que j’ai aperçu ...
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