L'autoroute du plaisir
Datte: 16/10/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Laurencec, Source: Hds
... ce petit bout de dentelle blanc dans le coin de mes affaires. Ce n’était rien d autre que mon body que j’avais pris avec moi sans avoir eu l’occasion de le porter ! Pour le coup, peut être allait il m’aider (rires) … j’adore cette pièce de lingerie et le blanc à l’orée d’une jupe en jeans est certainement plus visible que le string noir que j’avais sur les fesses.
Côté passager, portière ouverte, je scrutais la route et me changeais vite fait. Déjà excitée, la fièvre montait encore d’un cran me mettant quasiment nue sur le bord de la route. L’air frais, ce sentiment d’être nue et offerte au moindre regard. J’ajustais tranquillement mon body sur mes hanches avant de repasser ma jupe et assise sur le siège, j’enfilais mes bas chair avant de finir par mes hauts talons. J’ai failli remettre mon débardeur mais là aussi ma longue veste de cuir noir sur la banquette arrière me paraissait plus de circonstance si toute fois je voulais faire profiter les chauffeurs de mon superbe body. Je me regardais ainsi dans la carrosserie et en frissonnais… une vrai petite allumeuse de luxe .
Je reprenais enfin la route tranquillement plus excitée que jamais. Il ne m’a pas fallu longtemps pour mettre à contribution ma jolie tenue. Dès les premiers poids lourds en vue je me retroussais la jupe, veste grande ouverte et prenais soin de ne pas doubler trop vite ! Le résultat ne s’est pas fait attendre, klaxons, appels de phares, tout ce qu’il faut pour encore me faire chauffer d’avantage si ...
... besoin était. Des kilomètres à prendre un plaisir fou et à exagérer puisque plus je roulais et plus je n’hésitais pas à me glisser une main entre les cuisses. C’est du reste la vue qu’ont eu certains chauffeurs, jambes ouvertes je me glissais les doigts sous la dentelle et me massais la vulve, introduisant parfois un doigt dans la chatte détrempée. Je m’arrêtais parfois sur les aires de repos prendre un grand bol d’air, fumer une cigarette. Les fesses sur le capot de la voiture ou sur un banc à proximité, ma jupe cachait à peine la lisière de mes bas, excitée, j avais les idées confuses, je n’étais plus moi même. Malgré la fraîcheur, par deux fois je suis sortie sans la veste, mini jupe en jeans et mon body blanc dessous, je peux vous dire que bien des hommes me regardaient avec insistance .
D'ordinaire j’aurais été gênée et n’aurais même jamais osé sortir aussi provocante, mais lá, l’excitation, l’adrénaline, je me sentais prête à tout ! Kilomètre après kilomètre je sentais cette fièvre m’envahir, cette excitation folle me faire frissonner les ovaires. Par deux fois je me suis arrêtée sur des aires de repos très fréquentées par des poids lourds, je prenais l’air près de la voiture regardant les sanitaires, je me mordais la lèvre inférieure, tentée par l’idée de m’y rendre innocemment avec bien entendu l’espoir d’y faire une rencontre. J’en ai tellement entendu parler de ces endroits anodins qui renferment bien des secrets. Pour fréquenter les autoroutes assez régulièrement, ...