1. Ma sirène de femme et le jardinier


    Datte: 07/10/2019, Catégories: fh, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Ralph-Henri, Source: Revebebe

    ... immergée, glandabuté au fond du vagin, s’écrase à petits coups dans la matrice qui l’accueille et qui doit recevoir en continu le sperme inépuisable. Obscènes ondulations qui sont comme les indications de ce qui se passe à l’intérieur. À l’intérieur du ventre de Marion. Au creux de sa chatte pleine d’une queue large raide et impérieuse. Gavée des vagues qui déferlent les unes après les autres au plus chaud de sa matrice.
    
    Cette formidable baise entre un homme et une femme, tous deux quasiment immobiles, produit une impression presque dramatique. Deux corps soudés désespérément l’un à l’autre par une formidable nécessité. Deux corps incapables de se décoller. Verrouillés par l’angoisse de se perdre. Lui, la tient en tenaille sans lui laisser un millimètre de liberté. Elle, a planté ses griffes dans le dos du jardinier et s’agrippe comme un petit mammifère obstiné. Les imperceptibles ondulations qui traversent leurs étreintes les balancent un moment, cessent tout à fait puis reprennent inlassablement. À chaque pose, leurs visages se crispent et s’empourprent, leurs muscles se tendent un peu plus.
    
    Puis le très léger balancement reprend jusqu’à… la prochaine pose, le prochain orgasme de Marion, la prochaine éjaculation du jardinier. À imaginer ce chapelet de jouissances sous-marines, j’ai les jambes un peu molles et me sens de plus en plus à l’étroit dans mes vêtements. Voilà trois fois qu’ils s’écrasent l’un contre l’autre à s’en étouffer, trois fois que leurs balancements ...
    ... obscènes s’interrompent, trois fois que, comme dans un film muet, je vois leurs bouches se tordre, leurs visages défigurés lancer des cris sans son, trois fois qu’il se vide en elle, trois fois qu’elle l’aspire, l’avale, l’engloutit. Ils ne savent plus où ils sont, ils ne savent plus ce qu’ils font. À croire que je vais devoir descendre de mon perchoir pour les séparer. À coup de bâton peut-être…
    
    Sans rire, je commence à m’inquiéter pour ma petite Marion prise au piège d’un véritable maelstrom. L’œil du cyclone ne se déplace pas cette fois et reste bloqué sur ma petite femme. Tsunami permanent. Elle jouit encore et encore. Il plonge, plante, élargit et se vide en d’interminables giclées. Je n’y tiens plus. Il faut que j’aille délivrer ce petit corps de son bourreau. Je m’apprête à sortir quand l’improbable se produit. Après dix ou douze assauts de rang, je ne les ai pas comptés, mais il y en eut sans doute plus, tout s’arrête, tout s’effondre. Le corps du puissant mâle se détache de celui de la petite femelle blonde. Leurs têtes se courbent sur leurs poitrines. Les deux combattants lâchent prise de conserve. La baise est terminée.
    
    Marion reprend vite ses esprits et cette méchante petite personne reprend aussitôt son rôle de patronne. D’un geste autoritaire et définitif, elle désigne une plate-bande. Lucien sort de l’eau et se dirige vers ses vêtements. Marion l’arrête d’un geste tout aussi autoritaire. Quelques instants plus tard, Marion a repris son bouquin. Allongée ...
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