1. Ma sirène de femme et le jardinier


    Datte: 07/10/2019, Catégories: fh, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Ralph-Henri, Source: Revebebe

    ... face le premier jet d’une nouvelle série. Le liquide s’écrase sur son front, rebondit et éclate en auréole dans la lumière autour d’elle. Par réflexe Marion ferme les yeux tout en saisissant la lance à deux mains pour la diriger plus bas. Les vagues suivantes s’acharnent sur la base du cou et les seins. Ces paquets de foutre se ruent tout en violence à l’assaut du petit buste qui brille et ruisselle désormais.
    
    Grande marée. Pour la troisième fois en moins d’une demi-heure, le bâtard monté comme un âne a balancé la sauce, sans mesure, sans compter. Comme si la réserve de ses sucs intimes était sans limites ou que la nature avait doté notre imbécile heureux d’une capacité de fabrication intérieure continue. Unique ! La bordée temporise enfin. Le canonnier planté là, les bras le long du corps, nu, raide et dégouttant d’une liqueur finissante et verticale, fixe la femelle de son regard de zombie et contemple, inerte et stupide la poitrine vernie de la semence dont il vient de l’asperger. Marion le regarde aussi, prononce quelques mots que le double vitrage m’empêche d’entendre là où je suis. Puis, dans un éclat de rire, elle saisit Lucien par la main, l’entraîne, et, tous deux sautent dans l’eau. Je cours chercher le Canon. J’aurais dû y penser depuis longtemps.
    
    À mon retour, je les retrouve immergés, agrippés l’un à l’autre, immobiles, tendus, cramoisis. Dans le temps où je suis allé jusqu’au bureau pour y prendre l’appareil, la situation a carrément évolué. Sans le ...
    ... moindre doute ces deux-là sont fichés soudés l’un à l’autre. Embrochés jusqu’à la garde. En moins de cinq minutes, le mâle, jusque-là figé, statue au présentez-arme, a recouvré mobilité et initiative. Probablement dans la hâte et avec une impatiente violence, a-t-il saisi la petite Marion de ses bras puissants, l’a-t-il tournée et retournée jusqu’à ce que son sexe soit en ligne et l’a-t-il ajustée puis perforée sans ménagement ni douceur. La bite au fond, il aura écrasé la femme contre lui tel un forcené. Pour ne pas ressortir d’elle. Pour décharger aussitôt. Puis encore. Encore et encore bien au fond de ce sexe de femme tout chaud et bien serré. De ce sexe de femme dont il rêve depuis des semaines. Depuis des mois.
    
    Pour l’heure, Canon en main, je les vois soudés l’un à l’autre, face à face, dans un coin du petit bassin. Elle, prisonnière de l’étau de ses mains redoutables de travailleur. Une grosse main, doigts étalés sur ses fesses, capture tout le bas et ne laisse aucune chance de fuite… L’autre presse sa nuque et l’oblige à enfouir le visage au creux de son épaule à lui. Comprimée, écrasée, ligotée comme un petit animal piégé qui attend immobile et frissonnant ce qui va advenir, incapable de bouger, à peine de respirer, Marion subit la sauvage étreinte.
    
    Étouffée, mais pleine du sexe de l’autre. Pas le moindre doute là-dessus. Le couple est immobile dans l’eau. Presque immobile. De là où je suis, je peux distinguer un très léger mouvement de va-et-vient. Notre Lucien, pine ...
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