1. Ma sirène de femme et le jardinier


    Datte: 07/10/2019, Catégories: fh, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Ralph-Henri, Source: Revebebe

    Ceci est le récit vrai de ce qui s’est passé un après-midi de juillet 2008, chez nous, dans notre jardin tranquille de basse Normandie, au bord et dans la piscine.
    
    Ma femme Marion, piquante et petite blonde, entretient un corps de rêve en pratiquant une natation de quasi professionnelle. Plusieurs heures par jour. Souvent, mari voyeur, je me poste derrière la vitre de la chambre-pignon qui surplombe le bassin et reste là, mari frileusement amoureux de sa petite femme, à la contempler glisser dans l’onde.
    
    Il faut dire que cette piscine en a déjà vu de belles, car Marion et moi sommes un couple très uni, certes, mais très libertin aussi. Nous « pratiquons » depuis plus de dix ans. Majoritairement en trio avec des hommes triés sur le volet par mes soins et qui viennent régulièrement baiser ma petite Marion et apaiser ses appétits que l’âge a curieusement aiguisés et que mon âge à moi ne peut plus satisfaire. Quelques-unes de ces orgies se déroulent ici. Dans et autour de notre piscine. Bassin ludique pour tout le monde. Petits, grands et même… adultes.
    
    Ce jour-là Marion alignait les longueurs avec l’application et la constance qu’elle apporte à cet exercice chaque jour, chaque matin et chaque soir. Toute bronzée, elle menait son petit corps au rythme impeccable d’une nage crawlée, lisse et silencieuse. Vêtue de ses seules lunettes de nage et de son bonnet de bain. Une longueur crawlée, la suivante sur le dos et ainsi de suite. Bien que spectateur de longue date de ces ...
    ... réjouissants passages, je notais une fois encore que les longueurs dos avaient nettement plus de saveur que les autres. Encore que… À choisir entre son dos, ses fesses, ses jambes, filant en surface sous une mince lame d’eau noyée de soleil… ou les autres longueurs, seins, ventre et naissance des cuisses ne dissimulant pas son petit sexe nu, je n’aie jamais pu me décider.
    
    Il est presque 16 h ce beau jeudi de juillet et j’émerge à peine d’une sieste crapuleuse quand je réalise qu’aujourd’hui les choses ne vont pas se dérouler comme j’en ai l’habitude. Cette fois, tout va aller bien différemment. Mon petit bout de femme (elle triche sur son passeport avec 1m50 !), blonde et toujours gaie comme un petit enfant, est bien loin de se douter de ce qui se trame dans l’ombre des fourrés qui l’environnent.
    
    Et, de fait, dans la partie haute du jardin, au-dessus de la piscine, masqué par un gros chêne et un bouleau à triple tige, il me semble voir comme un mouvement, une ombre, une présence. Quelque chose d’insolite, là-bas entre le tas de compost et le pin de Weymouth qui a tant de mal à se développer à l’ombre de ses grands voisins.
    
    Après quelques minutes, immobile derrière la vitre, je distingue une silhouette qui se déplace très lentement le long de la haie de thuyas, vers les petits buissons en hauteur, à une vingtaine de mètres de la margelle, pas plus. On s’introduit chez nous. On semble même vouloir partager mon spectacle favori. Nous n’avons jamais clôturé cette partie ...
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