Ma sirène de femme et le jardinier
Datte: 07/10/2019,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Auteur: Ralph-Henri, Source: Revebebe
... suite nous révèlera qu’il possède des capacités de foutre véritablement hors-norme.
Pour l’heure, Marion est au spectacle. Cette volumineuse verge gorgée, tendue, dressée et pointée sur les nuages, comme en prière, tendue vers le Créateur, ravit Marion manifestement. Cette grande amatrice de sexes masculins est également très attirée par les beaux braquemarts qui passent à sa portée. Je l’ai même vue s’intéresser de près aux organes des étalons, en visite dans quelque haras normand.
Avec une absence totale de pudeur, je la revois, sans que la présence des autres visiteurs ne la gène le moins du monde, se positionner derrière un papa percheron tranquille dans son box et se pencher pour mieux apprécier les formes et les volumes. Elle aime les génitaux masculins et ne s’en cache pas. Souvent je le lui dis. Cela fait maintenant un bon moment qu’elle ne le nie plus.« Ah oui, j’aime bien ! » concède-t-elle avec son fameux petit air de ne pas y toucher.
Là, maintenant, à cet instant, elle y touche bel et bien. La dernière salve lâchée, Marion se ressaisit et se dresse, debout face à la bête pour… agripper à pleine paume la queue du crétin sans que celui-ci ne fasse quoi que ce soit pour échapper à sa prise. Les doigts crispés sur la tige comme les petites pattes d’un oiseau sur la branche. La branche est belle et solide. Les doigts n’en font évidemment pas le tour. Comme pour affirmer leur présence face à ce tube de chair frémissant qui les défie, les phalanges se crispent ...
... et tentent désespérément d’étrangler le pieu vivant à l’œil de cyclope.
Las pour les courageux petits serviteurs, loin de réduire la cylindrique machine, voilà qu’ils la relancent dans son inlassable et prodigieuse activité. Telle une locomotive à vapeur, poussée par son chauffeur, qui met en branle ses pistons et ses bielles, engloutit le charbon, expulse la vapeur et s’arrache sous son panache de fumée, la bite de Lucien se réactive au moment où Marion se penchait pour tenter de la prendre en bouche, bien convaincue de ce que l’éjaculation précédente lui laissait quelque répit.
Erreur, grossière erreur une fois de plus. Ni Marion ni moi n’avons encore réalisé en présence de quel phénomène nous sommes. Le gars Lucien n’est comme aucun de tous les mâles que nous avons reçus ici. Pas un ne présentait ni les mesures ni les réserves de ce garçon. Et pourtant, Dieu sait avec quelle application je les sélectionne et les choisis avant de les glisser dans nos draps et les laisser gaver ma femme de leurs sexes et de leur semence dont elle raffole ! Aucun ne peut décharger coup sur coup de telles quantités hors de lui-même, puiser dans des réservoirs sans fond et se répandre à répétition sans même qu’on ne le suce ni ne le touche.
Elle devra s’en persuader définitivement. Et cette fois, quand, penchée sur la bête, lèvres prêtes à s’en saisir comme elle le fait si volontiers avec tous ses amants avant de se laisser enfiler de leurs queues bien préparées, elle reçoit en pleine ...