Le salon des artistes indépendants fête ses vingt ans
Datte: 01/10/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
portrait,
occasion,
aliments,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... l’autre, comme dans un test comparatif de la fellation chez les seniors. Le bouquet final fut digne de Fellini : les croupes de ces dames, alignées, côte à côte, et les étalons qui passaient de l’une à l’autre à la demande pressante des coquines.
La voix grave de Brigitte me rappela à la réalité
— Tu sais que ce serait génial que tu contactes Vanderm, pour le convaincre de parrainer le vingtième anniversaire du salon. S’il te plaît, Pierre…
— Très peu de chance que ça marche, je l’ai perdu de vue depuis si longtemps. Il m’avait parlé, s’il arrivait à faire des économies, de chercher une petite maison vers Saint-Guénolé, mais c’est un mec tellement imprévisible.
Brigitte sembla abandonner son idée et me demanda la permission d’utiliser la salle de bains pour se donner un coup de peigne. Tant mieux, car je me voyais mal demander à un peintre, maintenant de renom, de chapeauter ce salon d’amateurs. En plus je n’avais nulle envie de faire des recherches sur le Net pour contacter mon ancien copain. Soulagé et la planche des photos d’identité de Brigitte élaborée, je paramétrais l’imprimante.
— Je tiens absolument à ce que tu contactes Monsieur Vanderm.
Surpris par le ton grave et impératif de Brigitte, je pivotais immédiatement mon fauteuil de travail. Dans l’encadrement de la porte du bureau, elle se tenait droite, sévère. Elle ne portait que sa petite culotte blanche, décorée d’une large ceinture de broderies. Ses bras croisés sur la poitrine retenaient les ...
... seins lourds, légèrement affaissés. Elle ajouta un petit commentaire :
— On va joindre l’utile à l’agréable. Je propose une transaction. Tu me promets d’essayer de convaincre ton ami et, moi, je me sacrifie à tes instincts lubriques. De toute façon, je trouve aussi que c’est du gâchis de laisser mon corps à l’abandon si longtemps. Marché conclu ?
Les préliminaires furent réservés. Debout l’un en face de l’autre, nus, on explorait timidement le corps de l’autre. Brigitte avait les hanches larges mais, curieusement, les longues jambes étaient un tantinet fluettes et le fessier assez plat. Je me goinfrais quand même de ses seins moelleux pendant que sa petite main donnait de la vigueur à mon membre réjoui.
Au bout de dix minutes, Brigitte m’informa qu’il n’y avait pas que les seins comme zone érogène chez la femme. Un peu vexé, je me tenais de lui montrer que mon savoir faire n’avait pas de limite géographique. Je l’ai fait s’asseoir sur le bord du lit, l’ai prié de s’allonger bien confortablement, je me suis agenouillé en plaçant ses cuisses sur mes épaules et j’ai plongé la tête entre les cuisses ouvertes. Le minou joufflu et charnu s’ouvrit lentement. La toison clairsemée de longs poils frisés n’entravait pas mes caresses buccales. Une délicate pénétration de mon index suivi par un gentil frottis du clitoris libéra Brigitte de sa crispation. J’en profitais pour augmenter le rythme, la foufoune était bien trempée et ma copine commençait à émettre des petits soupirs de ...