Le salon des artistes indépendants fête ses vingt ans
Datte: 01/10/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
portrait,
occasion,
aliments,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... tomates que son mari m’avait fournis. Par la lucarne rectangulaire de la cuisine, j’observais l’institutrice qui éliminait avec ses ongles, les feuilles basses des plans de tomates et les mendiants qui poussaient impunément à la jonction des feuilles saines et déjà fleuries. Accroupie et concentrée sur sa tache, sa position involontairement indécente troubla l’observateur qui était censé préparer le plateau pour le café.
Sa jupe droite était remontée sur ses cuisses maigrichonnes et je distinguais parfaitement sa petite culotte blanche et satinée. Le tissu synthétique était tendu à l’extrême dans l’entre jambes, à cause de la position accroupie de Brigitte. Il moulait adorablement le minou de ma visiteuse. Je distinguais parfaitement les deux bourrelets de la foufoune encerclant une fente profonde qui semblait aspirer le tissu. Ou bien il manquait une taille à la petite culotte, ou bien Brigitte avait elle prit un peu de poids ? Toujours est-il que l’intimité féminine était dévoilée de façon aussi réaliste que si la lingerie était absente. Je ressentis même une petite coquetterie dans ma démarche en apportant enfin le plateau réclamé.
Pour réaliser une bonne photo, j’avais aménagé un coin de mon bureau en mini studio : un spot dirigé vers le plafond, un panneau de tissu gris, punaisé au mur, un trépied solide supportant mon reflex. J’avais de la place dorénavant dans le bureau car mon épouse avait emmené son horrible table de travail Louis numéro machin et le ...
... fauteuil assorti. Madame avait décidé de vivre en ville, chez une copine divorcée… Le théâtre, les concerts, l’opéra l’intéressaient nettement plus que la vie à la campagne avec un mec qu’elle avait épousé il y a trente ans et qui l’ennuyait profondément aujourd’hui. Grand bien lui face !
Sur les trois essais photographiques, Brigitte en sélectionna un où elle souriait naturellement et qui, après quelles retouches Photoshop, sembla lui convenir parfaitement pour illustrer le bulletin municipal.
— Enfin et pour une fois, je n’ai pas l’air trop moche ni trop vieille en photo. Est-ce que ça te dérangerait de m’en faire des photos d’identité ?
— Avec le plus grand plaisir mais, les nouvelles normes administratives imposent de ne pas sourire et d’avoir le cou parfaitement dégagé alors, avec le gros nœud du chemisier, il n’y a aucune chance que cette photo soit acceptée à la sous-préfecture.
— Je ne vais quand même pas rater l’occasion d’avoir une tête correcte sur mon nouveau passeport ! Je suppose que tu as déjà vu une femme en soutien-gorge ?
Ni une ni deux, Brigitte se débarrassa de son chemisier et reprit la pose devant le réflex. Quelle paire de nichons ! Vu l’opulence des bonnets du sous-tif, il fallait au moins deux mains pour englober totalement une mamelle.
— Ton mari est un sacré veinard d’avoir à son entière disposition une poitrine aussi somptueuse, digne des stars d’Hollywood, et je ne blague pas.
— Ne parle pas des choses qui fâchent… Après trente ans de ...