Le salon des artistes indépendants fête ses vingt ans
Datte: 01/10/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
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extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
portrait,
occasion,
aliments,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... illuminant une mer d’huile. Un peu de poésie, que diable ! On inscrivit donc naturellement au menu, en option, cette prestation supplémentaire qui, ma fois, rencontra quelques succès inattendus.
La vie était géniale en coopération, juste après soixante-huit. Les autres coopérants Français étaient des jeunes couples d’enseignants. À la fin de chaque trimestre, ils organisaient des méga noubas. Vanderm et moi, étions toujours invités, à condition de venir avec nos conquêtes du moment. Danse, herbe magique jusqu’à minuit puis, toutes les dames étaient invitées à déposer leur petite culotte dans un grand panier. Après un grand brassage, chacun des mâles, les yeux fermés, tirait le slip dont la propriétaire allait subir leurs assauts. Une fois, lors de ces parties échangistes, je tombais sur une prof de biologie qui me demanda de la baiser sans préservatif car, elle était en pleine période d’ovulation et son mari n’arrivait pas à lui faire de bébé, après trois ans de mariage. Pour assurer, elle est revenue tous les jours. Pour nous c’étaient les vacances perpétuelles et la baise devenait notre seule préoccupation après ses cours, dans mon bureau à l’usine.
Certes, on ne se comportait pas en adulte, sans aucune discrimination d’âge. À Pâques, des charters complets débarquaient des retraités venus bénéficier de la thalassothérapie gratuite. Les retraitées n’avaient ni tabous ni inhibitions, elles s’envoyaient en l’air rien que pour le plaisir, sans se poser de questions ...
... métaphysiques. Vanderm avait réussi à couvrir un mur de son salon rien qu’avec les petites culottes de ses conquêtes de la thalasso. Il y avait toutes les tailles, quelques shorts en satin, du synthétique agrémenté de broderies transparentes, parfois de dentelles. Toutes les couleurs étaient représentées : des roses, des blanches, des bleus, des vertes et des pas… parfaitement propres. Ces dames étaient évidemment aussi tentées par l’exotisme des jeunes guides tunisiens ou les employés de l’hôtel mais, il n’y eut jamais de concurrence. La preuve en est qu’un soir, alors qu’on buvait un verre avec deux amis tunisiens, une dame d’un certain âge, très chic, couverte de bijoux, vint nous contacter à notre table. Elle nous désigna de la main ses trois amies restées assises à une table voisine et nous tint un discours très clair :
— Mes amies et moi avons envie de faire… une petite fête coquine et on vous trouve très mignons. On n’est plus de jeunes jouvencelles mais, si vous nous faîtes l’honneur de vous montrer très gentils avec nous, notre générosité financière vous étonnera…
On se retrouva donc tous dans ma villa de fonction. Quatre soutien-gorge furent vite accrochés au lustre du salon, suivis de près par les petites culottes. L’ambiance était festive, les quatre copines inséparables, veuves ou divorcées étant véritablement motivées. Les étalons ne se montrèrent pas avares de caresses et ils furent récompensés à la hauteur de leur sacrifice. Nos verges passaient d’une bouche à ...