Le salon des artistes indépendants fête ses vingt ans
Datte: 01/10/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
portrait,
occasion,
aliments,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... mariage, on n’a plus rien à se dire, on vit chacun de son côté, à peine cinq mots par jour, je fais mes aquarelles, il joue un peu de clarinette et passe le reste du temps à peaufiner son jardin… Quelle vie féerique n’est-ce pas ? On reste ensemble un peu par lâcheté et un peu pour les enfants mais ça fait belle lurette qu’on fait chambre à part.
Brigitte n’était pas triste après ces confidences inattendues. Un sourire las et blasé enlaidit un instant son visage.
Je me trouvais un peu con d’avoir provoqué ce malaise et, tout penaud, pris au dépourvu, je ne pus que sortir lamentablement :
— Quel gâchis lamentable !
Brigitte avait renfilé son chemisier, sans le boutonner, et me guidait dans la retouche de sa photo d’identité. Satisfaite, elle enleva les punaises qui tenaient le morceau de tissu qui avait servi de fond neutre pour ma prise de vue.
— Mais c’est un Vanderm !
Surpris, je la vis remettre ses grosses lunettes et scruter la peinture. Un rectangle, colorié de grosses tâches étirées ressemblant à des nuages aplatis, qui avait été caché par le tissu.
— Tu as dû payer ça un sacré paquet !
— En fait je ne l’ai pas payé du tout, c’est un cadeau de Vanderm qui alors, n’était pas connu du tout. Il y a trente-cinq ans, j’avais choisi de faire mon service militaire comme coopérant. J’ai bossé deux ans, comme ingénieur, dans une usine textile à Monastir, en Tunisie. Vanderm, lui, avait un contrat civil de cinq ans, comme styliste dans une usine de ...
... meubles à côté. Il était plus âgé que moi et déjà divorcé. Moi j’étais célibataire. On a sympathisé car on allait boire un verre, le soir, au Ribbat Palace, bourré de touristes. C’était juste histoire de voir si les jeunes et opulentes touristes teutonnes n’avaient pas, momentanément, besoin de compagnie virile.
— Et vous aviez du succès ?
— Quelquefois mais, bien souvent, c’étaient leurs mamans qui nous accordaient généreusement leurs faveurs. Après vingt-trois heures, quand leurs maris ronflaient, on les attendait dans ma voiture. Un peu de boîte de nuit, quelques verres d’alcool, puis, direction une plage privée dont on avait les clefs. Il y avait toujours deux couvertures dans le coffre.
Ce que j’avais omis de dévoiler c’est que ces dames, souvent un peu éméchées après la boîte de nuit, en voulaient pour leur argent. C’était luxure et fornication non stop. Il n’était pas rare que la mère qui accompagnait sa fille au dancing nous suive sur la plage pour bénéficier de la même prestation de service. Quelquefois on n’arrivait à séduire qu’une seule coquine mais notre conquête se montrait toujours ravie que deux amants la besognent de concert.
Suite à une demande insistante de deux Luxembourgeoises assez fofolles, dont les maris étaient restés bosser au pays, on ajouta, dans le coffre, une bouteille d’huile d’olive vierge. Cet excellent lubrifiant bio nous permit, le lendemain, de satisfaire ces vicieuses en les sodomisant délicatement, sous le clair d’une lune splendide ...