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Le chat obèse m’a regardé baiser sa maîtresse
Datte: 30/12/2025, Catégories: #occasion, fh, taille, Oral Humour Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... s’approche, nos visages à quelques centimètres. Elle sent le cuir et le vin rouge. Elle murmure : — Si je t’embrasse, c’est toi qui grimpes ou je me baisse ? — On peut aussi rouler par terre et faire tomber la table basse. J’aime quand c’est théâtral. Elle m’embrasse. Lentement. Avec cette audace tranquille des gens qui savent ce qu’ils veulent. Et moi, je me dis que tous les connards qui m’ont un jour réduit à un sketch, un fantasme ou un gag visuel, ils n’ont jamais eu ça : le souffle d’une femme sur ta bouche, juste avant qu’elle murmure : « Viens. Je veux voir si tout ce que tu dis est vrai. » Je me lève. Enfin… je me dresse. Et je réponds : — Prépare-toi à revoir l’échelle du plaisir. * Je pourrais te faire le couplet sensuel, te décrire ses courbes, le goût de sa peau, la lente montée du désir… Mais soyons honnêtes : on baise comme deux personnes qui n’ont plus envie de jouer à faire semblant. Je la plaque contre le mur. Elle rit. Pas un rire nerveux. Un rire qui dit :Vas-y, arrête de réfléchir, dévore-moi. Elle halète. Elle mord. Je la déshabille à coups de dents. Littéralement. Sa chemise glisse, sa peau me chauffe déjà les lèvres. Elle gémit, bas, rauque. Elle me guide sans mots. Et elle m’engloutit sans une seule hésitation. Et moi ? Je ne pense plus à rien. Ni aux regards. Ni aux clichés. Ni à la foutue société qui croit que le désir s’arrête à un mètre quarante-deux. J’ai des mains. Une bouche. Une langue acérée. Un sexe bien vivant. Et ...
... elle les veut tous. Du fantasme au foutre. Je la soulève – oui, je peux. Surprise dans ses yeux. Et puis plus rien, juste un feu animal. Ses jambes s’enroulent autour de ma taille comme une amazone en cavale. Je la plaque contre la cloison de la cuisine. Elle crie mon prénom. Un cri sincère. Brutal. Sans script. Et dans ce cri, je jure que j’entends l’explosion d’un stéréotype millénaire. Voilà. C’est ça, le bruit que fait un fantasme social qui se prend un orgasme dans la gueule. Oui, les nains baisent. Et parfois même mieux que les grands. Moins d’ego, plus de technique. Faut bien compenser quelque part. Elle jouit une première fois. Fort. Son dos se cambre, ses ongles me déchirent. Puis une deuxième, sur mes doigts. Une troisième, sur ma bouche. J’ai fait moi-même le lancer de nains, version bouche grande ouverte. Je la lèche comme un défi, les yeux plantés dans les siens. Elle tremble. Elle suffoque. — Tu veux encore ? je souffle, la voix cassée. Elle hoche la tête, incapable de parler. Et dire qu’il y a des gens qui paient des coachs de développement personnel alors que moi, je suis là, gratuit et lubrifié. Puis elle récupère son souffle et lâche : — Putain, oui. Et arrête de parler. J’ai déjà ri assez fort pour réveiller les voisins. — Tu crois qu’ils ont deviné que Blanche-Neige a invité un des sept à dormir chez elle ? Elle éclate de rire. Un vrai. Incontrôlable. Puis elle m’attrape par les cheveux. Ses jambes remontent, s’enroulent autour de ma ...