Ch. 3 Où je perds le contrôle - Histoires de Sexe

Ch. 3 Où je perds le contrôle

... »

De toute façon, elle le découvrira un jour ou l'autre, alors il vaut mieux lui avouer dès le départ : « Non, mademoiselle Duval, vous avez raison. »

« J'en étais sûre ! » se vante-t-elle tandis que son sourire narquois me transperce le cœur.

Afin de rendre mon massage plus efficace, je décide de ne garder qu'un seul pied dans mes mains. A peine ai-je lâché l'autre, qu'il vient se poser en équilibre entre ma cuisse et mon entrejambe. Je ne vous raconte même pas la sensation incroyable que j'éprouve à cet instant.

Paméla poursuit avec son insouciance naturelle : « Que ce soit au niveau sexe ou pour autre chose, je t'avoue que j'ai toujours été ce qu'on appelle une enfant gâtée. J'ai bien peur d'ailleurs que ce soit le seul privilège des filles uniques. »

Sa remarque la fait rire et je lui retourne un sourire de complaisance. Je sens mon pénis qui se met à durcir lorsque son pied libre délaisse définitivement ma cuisse pour glisser dangereusement du côté sexe.

« Pour être plus précise, j'ai l'habitude de toujours obtenir ce que je veux et seul mon plaisir a de l'importance. »

Elle rit à nouveau. Incapable de parler, je me contente de hocher la tête tandis que son pied pèse un peu plus encore sur ma queue.

« Malheureusement, mes parents n'ont pas toujours pu combler mes goûts de luxe, mais je ne leur en tiens pas rigueur. Par contre, comme tu as pu le voir, j'ai commencé à assouvir mon penchant en m'achetant tout un stock de lingerie. Heureusement que ...

... tu m'as fait le virement sinon mon chèque aurait été sans provision. » Elle se marre encore et j'en profite pour changer de pied. Sans surprise, celui que je viens de masser se pose à son tour sur ma bite déjà énorme. Je commence à étirer ses orteils un par un. Paméla semble marquer une pause qu'elle met à profit pour déguster son verre. Je réalise alors que je n'ai même pas encore touché au mien.

Puis, elle reprend en gardant son verre à la main : « D'autre part, je suis trop jeune et trop belle pour m'embêter à faire des trucs que j'aime pas ! Moi, en dehors des cours, j'ai besoin de m'amuser et de prendre du bon temps. Tu comprends ça, n'est-ce pas? »

Incapable de parler, je hoche la tête encore une fois. Totalement fasciné, je bois ses paroles à la place du vin. Sa voix devient soudainement langoureuse comme si elle était en train de s'exciter toute seule.

« Bref, tout ça pour te dire que je n'ai pas besoin de toi sur le plan sexuel et que la grosse queue de Pablo me convient très bien. Mais, puisque tu es amoureux de moi, je veux bien t'accorder le privilège de m'apporter tout le reste ! »

Soudain, elle retire son pied de mes mains puis l'autre de ma bite et croise ses jambes pour s'asseoir en tailleur. Elle se penche ensuite légèrement vers moi sans prendre soin de cacher l'entrée de sa courte robe. Pendant un instant, elle reste ainsi en me regardant fixement. Son parfum enivrant, son visage mutin, ses cuisses ravissantes, son sexe derrière le coton... Je ...