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Salon de coiffure pour dames
Datte: 26/12/2025, Catégories: #collaboratif, #personnages, fff, coiffure, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: ClubAA, Source: Revebebe
... Madame reprochant à Monsieur d’avoir les yeux un peu trop volatiles. À chaque fois que Gudrun ouvrait le salon, Monsieur s’arrangeait pour faire sa petite pause et fumer sa clope. Son cinéma n’était pas passé inaperçu. Axelle n’était pas prêteuse, c’était là son moindre défaut. Mais elle avait beau espionner son mari tout ce qu’elle voulait, s’il y avait bien un endroit où la femme ne pouvait pénétrer, c’était bien l’esprit de son cher et tendre. Et il s’en passait des choses, dans l’esprit de Jack… et pas que des avouables. Car si l’homme se levait tôt dans la nuit, ce n’était pas uniquement pour lancer le pétrin. Seul entre ses machines et ses fours, c’est là qu’il se laissait aller à rêver de la belle Gudrun dans le plus simple appareil. En amateur de belles miches, il imaginait ses mains malaxer une moelleuse poitrine, presque à en sentir la chair laiteuse rouler sous ses doigts, la faisant gonfler pour passer de la réalité à celle de ses rêves. D’ailleurs, depuis quelques semaines, il lui était venu l’envie de coucher sur papier les visions qui le hantaient, afin de les revivre à l’envi d’une simple lecture. C’est ainsi que sur fond de bourdonnement du pétrin, et dans l’odeur de farine, comme pour une recette, il détaillait méthodiquement comment il utiliserait son gros rouleau dans les orifices de la dame. Quel délice de la pétrir ainsi et d’en faire à sa guise tout ce qui lui passait à l’esprit ! Fond musical… Fond musical… Madame Tsouan travaillait ...
... en France comme diplomate, une activité comportant certains risques, que Mei décidait de vivre pour honorer son pays. Loïc Kermarec, son époux défunt, avait été un mari aimant, mais têtu comme une bourrique. Le fier et beau breton était mort, comme bien d’autres marins pêcheurs. Trois ans après la naissance de leur fille, une tempête emportait son bateau qui sombrait en mer Jaune. Il était alors impossible à Mei de s’occuper seule de Ting Ting. La diplomate vivait à Paris et tenait à ce que son enfant soit élevée en Chine. Elle avait donc confié l’enfant à son frère. Xiong Tsouan. Le riziculteur, aisé pécuniairement et veuf lui aussi, acceptait de rendre service à sa sœur aînée, promettant d’élever la gamine pour en faire une bonne fille. Il était préférable de commencer par accomplir les formalités idoines pour que sa nièce porte le nom de jeune fille de sa mère. Après quoi, il avait élevé sa nièce comme son propre enfant dans son petit village des bords du fleuve Yang-Tsé-Kiang. Ting Ting Tsouan eut une enfance heureuse auprès de son oncle Xiong. Plus tard, âgée de vingt-un ans, la vie de la jeune femme prit un autre tournant, un peu comme le faisait parfois son cher Yang-Tsé-Kiang : elle décida de quitter son pays pour retrouver sa mère à Paris. Ting Ting était un curieux mélange de caractères. La délicatesse des femmes asiatiques et la force de l’héritage des Celtes. Elle connaissait très peu cette maman vue bien trop rarement. Leurs retrouvailles avaient été ...